Trafalgar Square ou « L'Entente saura t-elle s'offrir le Monde ? »

 

Historique détaillé:

 

L'arrivée en 1936 d'un Dictateur en Allemagne fit l'effet d'une grande déflagration dans les milieux politiques du Monde Entier. On voyait arriver les nuages bien trop vite après ceux de la 1ere Guerre Mondiale. De nombreuses positions s'affichèrent dans toutes les Chancelleries Européennes, parfois contradictoires, souvent utopiques mais toujours constructives, en faveur d'une révision profonde de la vision des démocraties envers l'Allemagne. L'Angleterre était à la pointe du combat pour tenter de parlementer en profondeur avec le nouveau régime qui venait de voir le jour à Berlin. La France et les Etats-Unis furent plus prompts à réagir à des évenements de politiques intérieures. Ils laissaient les Anglais en première ligne, peu confiants dans l'ouverture du nouveau Chancelier pour des négociations générales. La première rencontre entre Hitler et Chamberlain, se déroula le 14 Avril 1933 dans la Forêt Noire, près de la petite ville de Wieenbürg. Hitler, bien que méfiant, ne désespérait pas sur un accord concernant une révision complète du Traité de Versailles, ce qui conforterait sa position dans son propre pays en face de nombreuses grèves lancées par les Communistes dans plusieurs villes Allemandes.

 

 

Chamberlain s'engagea sur plusieurs accords de principe, mais rien de concret ne put être obtenu de part et d'autre. Le 27 Avril 1933, Chamberlain mourut dans un accident d'avion au-dessus de l'Inde. Ce pays subissait de graves troubles anti-colonialistes qui nécéssitait l'envoi de nombreuses unités militaires et Chamberlain, avant sa mort, face au danger d'insurrection générale, tenta de calmer les masses indiennes par de nouvelles promesses, toutes irréalisables. Le 6 Juin 1933 fut élu un nouveau premier Ministre, Loyd Gambert, du Parti Conservateur, germanophone, et qui n'avait jamais caché son admiration pour le potentiel industriel allemand. Du côté Allemand, les révoltes gauchistes avaient laissées la place à de véritables émeutes et le pouvoir d'Hitler était chancelant. Le Duce Italien avait reporté siné die toutes les entrevues prévues avec les diplomates du Reich suite à une tentative d'annexion, dirigée en sous-main par l'Abwehr, manquée de l'Autriche avec l'Allemagne. Une venue d'Hitler à Londres fut élaborée pour tenter de redorer la blason allemand sur la scène internationale tandis que Lord Loyd Gambert souhaitait afficher sa sympathie pour l'Allemagne et pousser, ainsi, en contre-coup, ses alliés français à intervenir en Indochine, où était située des bases de la rebéllion indienne. Hitler arriva dans la ville bordée par la Tamise le 14 Juillet 1933. Les deux hommes se plurent tout de suite (on parla même d'une liaison passagère entre les deux hommes) et s'engagèrent à établir des relations chaleureuses entre leurs deux pays pour qu'ainsi, «  la Paix Européenne puisse être à jamais préservée ». La réaction française ne se fit pas attendre avec une « condamnation forte de pareils arrangements indécents au regard de la politique intérieure de Hitler ».

 

 

Hitler put se servir de cette victoire diplomatique pour accentuer la répréssion politique qu'il exercait dans son propre pays : les SS menaient une chasse sans pareil contre toutes les classes jugées hostiles au Reich : les juifs, les déficients mentals, les handicapés physique, les classes amorales (homosexuels principalement) et tous les fomenteurs de trouble à l'ordre public (tous les opposants politiques). Les SA allaient suivre très prochainement le million et demi d'hommes et de femmes parqués dans des « camps de transit ». Toutefois, Hitler ne donna pas encore l'ordre formel de remplacer les camps de transit par des camps d'extermination. Au Commonwealth, l'insurrection populaire était si forte en Inde que l'Armée Anglaise ordonna l'arrestation de tous les « fomenteurs de troubles contre la Courronne ». On parla rapidement de milliers d'emprisonnés. L'opposition britannique était ravie et espérait que Loyd Gambert, peu doué politiquement, allait bientôt rendre sa démission. Le 26 Novembre 1933, les journaux Anglais annoncèrent une révolte de milliers d'indiens qui avaient libéré par la force une prison britannique : des centaines de sécéssionistes avaient été libérés. Cette victoire des indépendantistes accula le Gouvernement de Gambert qui, pour ne pas perdre la main, ordonna l'envoi de 100.000 soldats supplémentaires dans le joyau de Londres et fit décréter des « Lois d'Urgence » qui permettaient l'exécution physique immédiate de tout individu qui pouvait représenter un danger pour l'Empire Britannique. Une décision qui créa des implications encore jamais vues : dès la mi-décembre, des bruits coururent que des centaines de séparatistes avaient été tués près de Bombay. D'autres massacres arrivèrent aux oreilles du peuple anglais. Les Tories demandèrent une commission d'enquête immédiate sur les agissements de l'Armée dans la Grande province mais le Premier Ministre refusa pour motif que « les actions en cours en Inde ne regardent que l'Armée et ses agissements, si le Gouvernement de Sa Majesté considère qu'ils doivent recevoir un jugement, seront ultérieurement decortiqués une fois terminé leur mission ». Le tolé ne fut pas qu'intérieur mais mondial : La France, face à ces agissements, annula le pacte d'entente signé avec Londres. Acte fort qui avait pour but de tenter d'inverser ou au pire d'infléchir les positions jusqu'au boutiste de son voisin, mais cette action ne fit que braquer encore un peu plus Gambert qui se tourna alors vers son nouvel ami allemand.

 

 

Deux rencontres eurent lieu en Angleterre, le 22 janvier et le 7 février 1934, où la diplomatie remplaçà bien vite les rencontres entre industriels. Une esquisse de Monde divisé entre les deux pays se dessina dans l'esprit des participants. Quand Gambert apprit ce qu'avait imaginé ses conseillers politiques lors de ces deux réunions, il prit peur : que dirait son peuple, déjà fort mécontent de ses décisions en Inde ?. Il tergiversa suffisamment longtemps pour voir apparaître une nouvelle menace, bien plus grave encore : le Commonwealth venait de demander « une Réunion Immédiate et solennelle ». Elle eut lieu le 4 Juin 1934, à Glasgow. Les pays du Commonwealth, tous sans exception, demandèrent le retrait des soldats britanniques d'Inde et voulurent apporter leur concours pour une solution pacifique. Gambert refusa, offusqué. Il n'était pas question pour lui d'un retrait, même partiel, de ses soldats de l'Inde. Cela aurait amené, obligatoirement, à une indépendance de fait de New Delhi, ce qu'il refusait obstinément. Le Commonwealth prit ce refus comme un affront à sa volonté de dialogue avec la capitale métropolitaine. Le Canada et l'Afrique du Sud indiquèrent qu'ils n'en supportaient pas plus et quittèrent les débats avant leurs fins programmés. Gambert sentait que l'emprise britannique sur son Empire vacillait : il décida de lancer une grande campagne en Inde pour y éteindre le feu pourtant déjà violent.

 

 

Une offensive armée débuta dans tout le territoire et ce fut un véritable désastre : une véritable armée indienne, armée principalement par le Japon, encerclèrent plus de 30.000 soldats anglais dans la région du Penjhab. Un affolement complet parcourut le 21 Downing Street. Si le peuple britannique venait à l'apprendre, c'était finit de tous les espoirs de Gambert pour rester au pouvoir. L'armée anglaise avoua aussi que des secours ne seraient pas possible pour soutenir les encerclés que dans un délai de 3 mois. Un temps largement suffisant pour voir les anglais retranchés annihilés par les insurgés. Gambert, isolé, demanda, à tout hasard, l'aide d'Hitler. Celui-ci, forçant les difficultés, proposa une aide de la Luftwaffe à partir de bases en Chine Nationaliste, ce pays possèdant de très bonnes relations avec Berlin. Gambert, soudain soulagé, accepta sans retenue et des He-51 à long rayon d'action partirent en nombre des aéroports militaires allemands en direction des faubourgs de Shangaï, aux mains des forces nationalistes. En quelques jours, les Heinkel trouvèrent la zone où étaient retranchés les forces anglaises et parvinrent à rapatrier, par des centaines d'allers-retours quotidiens, près de 25.000 soldats encore valides. Ce fut le premier rapatriement à grande échelle de l'Histoire. Le retour des forces anglaises se passa dans le plus grand secret et permit au Premier Ministre Anglais de sauver la face aux yeux de son peuple, qui apprit que plusieurs mois après le rapatriement de ses enfants. Tout au long de l'année 1935, au plus fort des combats en Inde, les 2 capitales établirent des relations «d'amitié réciproque» qui aboutirent, le 3 février 1936, à une Alliance officielle. La France, au courant depuis longtemps du ressérement anglo-allemand, dû se rabattre vers l'Est et obtint une Alliance défensive avec les Soviétiques. Ils purent profiter de celle-ci pour forcer la main aux Japonais en leur arrachant un pacte de non-agression de 10 ans assorti d'une entente de défense dans le cas où un des deux pays aurait un besoin urgent d'aide contre un ennemi commun. La France, en échange, donna son aval concernant le conflit latent entre Tokyo et la Chine Nationaliste, incluant une stricte neutralité avec sa frontière entre l'Indochine, province française, et la Chine Nationaliste. Cette guerre débuta officiellement le 4 mars 1936 après des mois d'escarmouches larvées. Berlin et Londres, dans un bel effort commun et remarqué, demandèrent à la SDN de comdamner cette attaque mais la SDN, profondément divisé par la demande de ces deux Etats, « alliés contre-nature », ne déclara qu'une faible mise en garde aux deux Etats Asiatique. Berlin informa toutefois son nouvel allié Anglais que la Chine Nationaliste recevrait du matériel allemand en nombre. Dans le même temps, Franco passa à l'acte et fomenta un Coup d'Etat le 29 Mai de l'année 1936, en Espagne, qui bouleversa l'Europe endormie.

 

 

Le Front populaire, arrivé en France dès le 17 Avril 1936, très en colère face à la tournure des évènements en Europe, n'hésita pas et déclara la Guerre aux Nationalistes Espagnols le 6 Juin 1936. Les français, dans leur grande majorité, ne furent pas peinés par cette déclaration de guerre. Il semble que l'alliance Anglo-Allemande avait fortement choqué les consciences et les promesses du front Populaire pour « une Paix sans compromis en Europe » incluait clairement une politique ferme contre les dictatures. L'Armée Française traversa, avec l'accord de la République d'Espagne, les Pyrénées et écrasa les soldats de Franco. Ce dernier partit à Berlin réclamer des armes, mais l'allié anglais, maintenant totalement dans le camp de Berlin, refusa une telle intervention qu'elle jugeait « inutile, dépensière et pouvant braquer encore plus les Français ». Gambert ne savait pas alors que le Furher n'attendait que cela : la France était à ses yeux tout ce qu'il aborait et envisageait de plus en plus un conflit direct avec Paris et ainsi prendre SA revanche sur l'Histoire. Devant le refus net anglais, Hitler, jouant la docilité devant cette fermeté peu diplomatique, abandonna Franco qui repartit, dépité, jusqu'a Rome quémander des subsides pour ses forces. De son côté, le Duce, isolé dans le concert diplomatique européen, crut en son étoile, et offrit de nombreux matériels aux fascistes espagnols. Cela ne changea pas le rapport des forces et l'Espagne sortit de la guerre civile au mois de Mai 1937. Franco fut arrêté et pendu le 13 Mai de la même année. Le sort s'acharna sur l'Italie qui subit de nombreux revers en Ethiopie. Le Duce dut demander de nombreux efforts aux Italiens pour financer ce que de nombreux italiens jugèrent comme la « guerre personnelle du Duce en Afrique ». La position du Dictateur Italien était au plus mal quand arriva l'Ansclüss le 30 Octobre 1937.

 

 

Le Duce avait mit tout son poids politique pour éviter cette annexion qui voyait maintenant l'Allemagne à ses portes. Le président du Conseil à Rome demanda des comptes au Duce qui ne sut que répondre. Les italiens avaient assez de ce fantasque petit dictateur, qui tenait promesse après promesse sans jamais les tenir : il avait promit une Victoire rapide de Franco grace à son matériel, une Victoire rapide des forces de Balbo en Ethiopie et l'assurance que l'Allemagne ne prendrait pas l'Autriche dans son giron avec l'idée secrète de la voler à Berlin plus tard. Des contestations de la part de son peuple apparurent et furent si fortes que le Duce fut renversé, pacifiquement, le 23 décembre 1937. L'Union Nationale fut demandé et un nouveau Gouvernement, démocratique, prit place à Rome. Ce dernier se rapprocha, dès les premiers jours, de la France, considéré comme le seul et véritable rempart du fascisme, depuis sa victoire en Espagne. Hitler, face à ce revirement italien, maintenant aux côtés des français, prit conscience que son pays se devait de reprendre la main en Europe : il força la main, le 6 Mai 1938, à son alliée l'Angleterre, en pleine élection législative anticipée provoquée par un vote de défiance des Tories face au Gouvernement de Gambert, élections qui vit de nombreuses irrégularités entacher le scrutin. Le caporal Autrichien annonça à son peuple que les Sudètes étaient en danger : il proposa officiellement l'aide allemande à Prague pour protéger les minorités allemandes de son pays. Prague, consciente du danger et de la rouerie d'Hitler, avant de refuser, s'informa de la réaction de son allié français : celui-ci lui assura qu'elle ne le lâcherait pas en cas de conflit. Prague annonça sèchement alors à Hitler qu'elle refusait ses propositions. Ce dernier, à l'annonce de la victoire « sérrée » de Gambert, ordonna à des troupes allemandes de franchir les frontières de l'Etat Tchécoslovaque le 12 mai 1938, à l'aube. Prague, sûre de ne pas se retrouver seule contre son voisin du nord, déclara la guerre à Berlin le 13 au matin et celle-ci répondit le 14 mai au soir par sa pendante. Gambert, visiblement surpris, ne voulut pas suivre son allié Allemand, du moins pas immédiatement. Paris, tenu par ses promesses verbales et son pacte avec Prague, le 15 mai 1938 à midi, déclara la guerre à Berlin. Dans une attaque des français, la première de la guerre, sur les navires allemands, un Sous-Marin tricolore envoya une série de torpilles contre ce qu'il croyait être le Blücher. Le navire fut coulé mais c'était en fait le York Anglais en exercice près de Kiel. Croyant percevoir le bon moment pour soutenir son allié européen, Gambert profita de cette bourde française et déclara la guerre à Paris le 3 Juin 1938. Face à l'alliance germano-anglaise,

 

 

Moscou s'engagea du côté de Paris comme stipulait son Alliance et déclara la guerre aux deux pays. Dans toute l'Europe, entre le début et la fin Juin de l'année 1938, la mobilisation générale fut décrêtée et, au matin du 1er Juillet, les Armées de tous les pays d'Europe étaient en état d'Alerte, prêtent au combat. Le monde allait connaître sa Seconde Guerre et elle promettait d'être encore plus violente que jusqu'alors. A vous de décider du sort du Monde, il vous regarde droit dans les yeux, à vos pieds.

 

 

Scénario Alternatif « L'Entente saura t-elle s'offrir le Monde ? » fonctionnant sous WIF FE et Raw 7.0 (Juillet/Août 1938 à Juillet/Août 1945, inclut)

 

Ce jeu commence avec l'assaut allemand sur 2 fronts : Tchécoslovaquie et France jusqu'à l'arrivée des Etats-Unis dans le conflit en compagnie du Japon. L'Entente aura certainement une légère domination sur le Monde jusqu'en début de 1941, voire 1942, avant que les Puissances Majeures alliées ne conjuguent leurs efforts pour défaire une bonne fois pour toute ces pays du Nord de l'Europe.

 

Joueurs : L'Entente (Allemagne et Angleterre, Chine Nationaliste) contre les Alliés (U.R.S.S, France puis France Libre, USA, Japon, Italie, Commonwealth -hors Australie- et Chine Communiste).

 

Premier Tour : Juillet/Août 1938.

 

Nombre de tours : 43.

 

Dernier modificateur météo : Aucun. Le jet de dé pour la première impulsion de la partie donne « 8 ».

 

Cartes employées : Toutes.

 

Initiative : Case +1 Axis. L'Entente commence avec l'initiative et doit jouer la première impulsion.

 

Etats de Guerre :

A la 1ère impulsion du jeu, l'Entente (Allemagne et Angleterre) sont en guerre contre l'U.R.S.S, la France et la Tchécoslovaquie. Aucune surprise n'est donc possible pour les Etats en guerre au 1er tour de jeu. Aucun pays d'aucune alliance ne peut déclarer la guerre à un pays tiers durant sa première impulsion.

 

Voici les pays qui peuvent, à tout moment être alignés par un des deux camps en présence :

 

L'Entente peut aligner, à n'importe quel moment, les pays suivants :

Turquie

Norvège

Bulgarie

Roumanie

Finlande

Suède

Hongrie

Danemark

Australie

Pays-Bas

 

Les Alliés peuvent aligner les pays suivants, selon des modalités précisées plus bas :

Commonwealth

Brésil

Mexique

Espagne

Siam

Mongolie

Amérique Centrale

 

L'Italie peut joindre à tout moment les démocraties ou les rejoindre si on lui déclare la guerre.

Le Japon est en guerre contre la Chine Nationaliste et Communiste. Elle ne possède pas de Pacte de non-agression avec l'U.R.S.S. Ces deux états peuvent en signer un quand elles le veulent si elles le souhaitent.

 

Le reste des pays mondiaux ne peuvent être alignés (la règle d'application d'un alignement incluse dans la raw 7.0 ne s'applique pas pour les pays cités dans les Règles mais n'apparaissant pas plus haut), ils le sont uniquement lorsqu'une Puissance Majeure d'un Camp lui déclare directement la guerre. Ce pays mineur est alors aligné par l'autre Camp.

Entrée US: Seuls les pools « Ge/It » sont joués. Tous les pions des pools Ge/It coûtent le double de leur valeur (au lieu d’1,5 fois). Les Etats-Unis commencent avec 7 pions d'entrée (du fait de l'attaque sur la Tchécoslovaquie et de la DoW de l'Entente sur la France, tout comme celle sur l'U.R.S.S). Les Etats-Unis peuvent choisir un pion d'entrée durant la phase d'entrée américaine même s'ils avaient déjà tiré des pions dans la phase d'entrée américaine du tour précédent. Vous pouvez toujours tirer 3 pions (chaque 2ème tour) en 1942 et après. Vous pouvez choisir une option d'entrée non désignée seulement si vous avez suffisamment de pions dans les pools Ge/It.

Exemple: Vous pouvez fermer le canal du Panama si vous avez une valeur cumulée de vos pions de 17 ou plus dans votre pool d'entrée Ge/It.

 

Réserves : Toutes les Puissances Majeures ont fait appel à leurs réserves.

 

Contrôle : L'Allemagne à conquit l'Autriche et seulement elle.

L'Italie a conquis l'Ethiopie et a aligné l'Albanie.

 

Points de Renseignements : Aucun.

 

Production hors-carte : Aucune, toutes les cartes étant jouées.

 

 

Règles spéciales :

 

Angleterre: Au départ de la guerre, le Commonwealth refuse de cautionner la politique de Londres pour la plupart des pays signataires. Seul l'Australie suivra la politique extérieure de l'Angleterre et se joindra à la Guerre aux côtés de l'Entente. Le reste des Etats du Commonwealth fait sécession et se déclarent neutre dans le Conflit. Toutefois, le joueur Allié peut amener ces pays du Commonwealth à rejoindre officiellement les Alliés dans la cas suivant : si Moscou est prise ou si un hex du pays mère américain est envahie par un Etat de l'Entente (elle déclare sa participation aux cotés des Alliés au tour suivant, lors de la première impulsion). Dans ce cas, voir plus bas.

 

Le pétrole Vénézuélien est apporté totalement au Royaume-Uni tant que ce pays d'Amérique du Sud n'est pas complètement conquit par une Puissance Alliée.

 

Attention : A chaque fin de tour, une unité de partisans est tirée au hasard du Pool par un joueur Allié et placée à sa convenance en Inde, ceci en plus du jet pour determiner la présence ou non de partisans sur 8 pays, quel qu'ils soient (l'Inde peut donc recevoir deux fois des de partisans dans un même tour). Cette règle s'applique tant/aussitôt qu'une unité de l'Entente est présente dans ce pays.

La valeur de garnison de ce pays est divisée par deux pour les 2 Camps tout au long du jeu.

 

Vous avez l'obligation de laisser un minimum de 3 unités terrestres, comptabilisées lors de la Phase de Paix, en Inde. Dans le cas contraire, l'Inde rejoint immédiatement les forces du Commonwealth et suit son horizon politique (si le Commonwealth est neutre, l'Inde l'est aussi, si le Commonwealth est en guerre contre l'Entente, elle l'est aussi). Si c'est le cas, les unités de l'Entente présentes en Inde sont retirées de la carte et envoyés dans le Réserve Pool.

 

Argentine : Contrairement à la règle d'alignement dans le paragraphe correspondant de la Raw 7.0, elle peut être alignée si un Etat d'Amérique du Sud (hors Brésil et Vénézuéla) à un de ses hexs de son pays mère envahie par une unité appartenant à l'Entente. Dans ce cas, au tour suivant cette invasion, l'Argentine se joindra à l'Entente.

 

Commonwealth (hors Australie et Inde) : Si le Commonwealth se joint aux Alliés, le joueur du Commonwealth choisit (sur un papier à part) une capitale d'un des pays appartenant au Commonwealth, cette capitale servira de Pays Mère aux unités du Commonwealth. Vous prendrez un Force Pool (un pool de construction, un autre de production, de réserve, etc...) particulier pour ces unités. Vous devrez tirer au hasard lorsque vous souhaitez disposer d'une unité pour sa construction (vous n'avez donc pas le choix de la nationalité de l'unité).

Exemple : Vous êtes dans le tour de J/F 1944 et le Commonwealth est en guerre aux côtés des Alliés à la suite de la chute de Moscou face aux Forces de Panzers Allemandes, et vous choisissez de nouvelles unités à créer. Vous devez alors, comme stipulé dans les règles, determiner un type de classe d'unités de l'année que vous souhaiteriez posséder. Bien que le pays mère du Commonwealth que vous avez choisit est le Canada, vous ne pouvez pas, par exemple, choisir exprèssément une unité Canadienne. Vous tirez au hasard dans les unités disponibles correspondant à la classe et à l'année en question. Vous tirez une MECH de l'Afrique du Sud. A la fin de sa construction, vous la placerez dans le pays mère d'Afrique du Sud.

 

Lorsqu'un pays appartenant au Commonwealth est conquit, retirez du jeu toutes les unités du pays en question (et celles présentes de ce pays dans les pools du Commonwealth). Elles ne pourront revenir en jeu, même si ce pays mineur est libéré par la suite.

 

Mexique et Brésil : Elles peuvent être alignées par le joueur Américain aux côtés des Alliés seulement si l'Argentine est alignée par l'Entente. Elles l'annoncent au tour suivant l'alignement de l'Argentine.

 

USA : Le côut des Actions qui amènent une intervention des Etats-Unis est inclut dans un Tableau relatif à ces Coûts (§ 13.3.3 Les actions d'entrée US (Raw 7.0)). Vous avez ci-dessous le descriptif complet de chaque Action et du côut correspondant. En parenthèses, le chiffre initial présent dans les Règles de WiF (Raw 7.0). En gras, le chiffre à prendre en compte pour ce Scénario.

 

 

US Entry Actions

Le Japon et l'URSS signent un Pacte de Neutralité

7 (3)

Chine (Communiste ou Nationaliste) conquise par le Japon

46 (35)

Le Japon force la clôture de la Route de Birmanie

9 (5)

Le Japon déclare la Guerre à l'U.R.S.S

10 (7)

Le Japon occupe une ville Chinoise

7 (4)

 

 

L'Entente déclare la guerre aux USA

72 (55)

L'Entente conquiert (ou crée la france de Vichy) la France

13 (9)

L'Entente conquiert l'U.R.S.S

37 (23)

L'Entente conquiert un Pays mère d'un Etat du Commonwealth

13 (12)

L'Entente annonce l'alignement d'un pays mineur

4 (3)

L'Entente déclare la guerre à la :

 

Pologne

15 (12)

Belgique ou Suisse

11 (8)

Autre pays mineur

6 (3)

 

 

Les Alliés soutiennent un mineur attaqué

9 (7)

Les Alliés conquièrent l'Angleterre

-18 (-15)

Les Alliés déclarent la guerre à un pays mineur

-11 (-10)

L'Italie déclare la Guerre à l'Entente

-3

Un pays mineur se joint à la guerre aux côtés des alliés

-4 (-5)

 

 

L'U.R.S.S déclare la guerre au Japon

-19 (-17)

L'U.R.S.S déclare la guerre à un pays mineur

-5 (-3)

 

Voici ci-dessous le tableau révisé pour ce scénario des options d'entrée permises aux USA :

 

 

 

4

 

CV Français Interné

(Possible seulement si le CV Français « Béarn » est sur la carte et que Paris est contrôlé par les Alliés)

Vous pouvez soit :

·         Enlever le CV Français du jeu et déplacez un TRS US choisi au hasard du FP vers le cercle de production afin qu’il arrive lors de la phase de renfort du tour prochain ; ou

·         Mettre le CV Français dans le pool de construction. Il restera une unité US pour le reste du jeu.

 

 

11

Escortes US de la côte Est (plus de limite une fois que cette PM est en guerre contre l'Entente)

Un maximum de 5 CVs ou SCS US (vous choisissez les bateaux mis en escorte) placés dans la section 0 de la ZM East Coast Sea peuvent prendre part aux rounds de combat dans lequel des convois Alliés sont impliqués, bien que vous soyez toujours neutre. Il n'y a aucun effet sur l'entrée US suite au combat.

 

 

15

Ressources aux Alliés occidentaux (illimité une fois les USA en guerre contre l'Entente)

Les USA peuvent donner au maximum 5 ressources par tour à chaque pays parmi les Alliés. Les points de convoi US ne peuvent pas être utilisés pour transporter ces ressources tant que les USA sont une PM neutre.

 

16

 

Don de destroyers à la France et/ou à l'U.R.S.S

Pour les 10 prochains SCS que la France ou l'U.R.S.S construira depuis le 1er ou le 2nd cycle, ou réparera, ce pays (ou les deux) payera 1 point de construction de moins pour chaque SCS. Un SCS qui est commencé et terminé (1er et 2ème cycle) comptera comme 2 des 10 SCS autorisés.

 

 

19

Ressources vers l’URSS (illimité une fois les USA en guerre contre l’Entente)

Les USA et/ou la France peuvent donner/recevoir 5 ressources chacun par tour à/de l'URSS. Les points de convoi US ne peuvent pas être utilisés pour transporter ces ressources tant que les USA sont une PM neutre.

 

20

 

Escortes aériennes US basées à terre

Les USA peuvent utiliser des unités aériennes basées à terre pour escorter des points de convoi Alliés placés dans la case 0 de n’importe quelle ZM où les USA sont autorisés à escorter des points de convoi.

 

22

Augmentation de la production (niveau de tension de 11 requis contre l'Entente)

 

Le multiple de production US augmente de 0,25.

25

Réparation des bateaux Alliés

Les USA peuvent réparer les unités navales des Alliés. Les réparations comptent dans le gearing limits US.

 

 

27

Prêt-bail aux Alliés (option 15 requise) (illimité tant que les USA sont en guerre avec l’Entente)

Les USA peuvent donner au maximum 5 points de construction par tour à chaque PM Alliée. Les points de convoi US ne peuvent pas être utilisés pour transporter des points de construction tant que les USA sont une PM neutre.

28

Lancement de la production des bombardiers stratégiques

Les USA peuvent maintenant produire des LNDs demandant 4 tours pour être construits.

 

 

29

Escortes en Atlantique du Nord (option 11 requise) (plus de limite après l’entrée en guerre des USA contre l'Entente)

Jusqu'à 5 CVs US ou SCS (vous choisissez les bateaux mis en escorte) placés dans la section 0 de la ZM North Atlantic, peuvent participer aux rounds de combat impliquant les convois Alliés, bien que vous soyez neutre. Il n'y a aucun effet sur l'entrée US suite aux combats.

 

 

30

Prêt-bail à l’URSS (option 19 requise) (illimité dès que les USA sont en guerre avec l’Entente)

Les USA peuvent donner/recevoir 5 points de construction par tour à/de l'URSS. Les points de convoi US ne peuvent pas être utilisés pour transporter ces points de construction tant que les USA sont une PM neutre.

 

32

 

Les USA réfutent les zones de Combat Naval

Les USA peuvent utiliser leurs propres points de convoi (qui peuvent être attaqués par les unités de l'Entente même si elles ne sont pas en guerre contre les USA) pour transporter des points de ressource et/ou de construction que les USA prêtent aux PMs Alliées.

33

Fermeture du canal de Panama

Le mouvement naval à travers le canal de Panama est maintenant limité.

 

34

Vote du Projet de Loi de Finances de la Guerre (option 22 requise)

Minimum d'au moins 17 en niveau de tension contre n’importe quelle PM de l’Entente requis. Le Multiple de production US augmente de 0,25.

 

 

38

Armement des navires marchands (option 29 requise) (aucune limite après que les USA soient entrés en guerre contre l'Entente)

Jusqu'à 5 CVs ou SCS US, placés dans la section 0 de n’importe quelle ZM, peuvent participer aux rounds de combat impliquant les convois Alliés, bien que les USA soient toujours neutres. Il n'y a aucun effet sur l'entrée US suite au combat.

46

Les USA peuvent avancer la construction d’unités

Les USA peuvent avancer la construction d’unités tant qu’ils sont neutres.

48

Les USA peuvent DoW tout pays mineur

Les USA peuvent DoW n’importe quel pays mineur.

 

 

 

 

50

 

 

 

 

Guerre navale sans restriction (option 38 requise)

Les unités navales et aériennes des USA en mer peuvent attaquer librement, et être attaquées, par toute unité navale et aérienne de l’Entente. Vous ne pouvez toujours pas faire d’attaque portuaire, de bombardement côtier, de ground strike, de bombardement stratégique, de tapis de bombes, ou d’envoyer des avions en appui sol. Vous pouvez escorter des convois Alliés dans n’importe quelle ZM comportant n’importe quel nombre de SCS ou de CVs et déplacer des bateaux ensemble pour 1 PM naval, au lieu de compter 1 PM naval pour chaque bateau.

Les Etats-Unis ne sont pas limités dans leurs mouvements et leurs placements d'unités dans le Pacifique même quand ils sont neutres (Guam, Philippines ou autres). Ils peuvent décider ce qu'ils veulent, tant qu'ils ne violent pas les règles d'empilement de WiF.

 

Les USA ne peuvent déclarer la guerre au Japon durant ce scénario.

 

Japon : Le Japon déclarera la guerre à l'Entente au tour qui suit l'intervention des Etats-Unis dans le Second Conflit Mondial aux côtés des Alliés.

Tokyo à droit à deux guerres contre l'U.R.S.S avant qu'elle n'entre officiellement dans la Seconde guerre Mondiale aux cotés des Alliés. Ces 2 guerres peuvent se dérouler entre la 1ere impulsion du jeu et jusqu'au tour d'entrée en guerre des USA contre l'Entente (non inclut).

Ces deux guerres peuvent se dérouler mais ne sont pas obligatoires. La première guerre peut être déclenchée par un des deux Etats et peut s'arrêter à tout moment par la décision d'un des deux Etats. L'arrêt des combats est immédiat, les Armées doivent s'arrêter où elles sont placées et la nouvelle frontière entre les deux Etats est modifiée en fonction du positionnement des deux Armées. Cet arrêt des combats n'implique pas la signature d'un pacte de non-agression entre l'Union Soviétique et le Japon. Une seconde guerre peut survenir à n'importe quel moment ensuite et ne peut s'achever que de trois façons : soit la capitale d'un des deux Etats est prise, soit l'arrivée des USA dans la guerre intervient et dans ce cas les deux armées mettent un terme à leurs conflits ou bien les deux pays décident un arrêt définitif des combats. Le positionnement des armées dessine les nouvelles frontières. Attention : la déclaration de guerre d'un Etat envers l'autre n'implique par le jeu des alliances. Ce conflit entre la Russie et le Japon est qualifié par tout le monde comme « régional », même par les deux parties.

Exemple : Nous sommes au début du tour de S/O 1940. Le Japon déclare la Guerre à la Russie. Au bout du tour de J/F 1941, le Russe demande la paix qui est automatiquement acceptée, sans avoir à demander l'avis du joueur nippon. Celui-ci obtient toutefois des compensations avec ses armées occupant Vladivostock et ses alentours. Ceux-ci sont alors inclut dans les territoires du Japon. La Russie, voulant sa revanche, déclare la guerre au Japon en M/J 1941 et l'Armée Rouge fond sur les positions des troupes du Mikado. Les Alliés ne peuvent pas déclarer la guerre au Japon, le conflit entre les deux pays étant strictement « régional ». Durant ce tour, profitant de la surprise, les Soviétiques brisent les défenses japonaises. Tokyo, mal en point, demande la paix en début de J/A 41 mais celle-ci n'est possible, pour la règle de la Seconde Guerre nippo-russe, que si les deux participants sont d'accord, mais le Russe, voulant profiter de son avantage, refuse et la Guerre continue. Malheureusement pour Staline dont ses armées avancent vers Vladivostock, il n'a pas le temps de consolider ses avancées que le tour de S/O 41 arrive et voit l'arrivée des USA dans le conflit. Immédiatement, la Paix est automatiquement signé entre les deux parties. En N/D 41, Tokyo annonce qu'elle se joint au Camp Allié et déclare la Guerre à l'Entente. Moscou et Tokyo sont arrivés à un modus vivendi, enfin jusqu'à la fin du scénario, car ensuite...

 

Production : Voici le Tableau des dons de ressources des pays Neutres par tour :

Hongrie

Toutes ses ressources à l’Allemagne

Irak

1 point de pétrole à la France ou au contrôleur du pays qui tient la Syrie (Vichy ou France Libre)

Perse

1 point de pétrole au CW

Hollande

1 point de pétrole au Japon, le reste des points de pétrole au CW

Roumanie

2 points de pétrole à l'Allemagne et 1 à l’Italie

Suède

5 points de ressource à l'Allemagne

Turquie

3 points de ressource à l'Allemagne

Vénézuéla

Tous ses points de pétrole au CW

Conditions de victoire spéciales : Aucune.

 

Objectifs historiques : Vous avez deux possibilités (à determiner avant le match) : soit le camp qui possède le plus de points à la fin de la partie a gagné ou bien voici la table indiquant les totaux attendus d'objectifs recalculés mathématiquement pour chaque Puissance Majeure à la fin du tour de Juillet/Août 1945 :

 

Puissance majeure

« L'Entente saura t-elle s'offrir le Monde ? »

Chine Nationaliste

1

CW

13

France

5

Allemagne

16

Italie

2

Japon

4

USA

15

URSS et Chine Communiste

11

Total

67

 

Placement : A la suite d'un premier essai (joué seul), j'ai constaté quelques difficultés inhérentes au Scénario (départ en J/A 1938). Pour y palier, j'ai décidé ceci :

Unités terrestres : placement sur la carte de toutes celles ayant 1937 ou moins (celles de 1938 sont dans les pools). 3 INFs Anglaises sont situées en Inde. 10 PARTs doivent être placées par les Alliés, lors de leur première impulsion, en Inde.

Unités aériennes : placement sur la carte de toutes celles ayant 1937 ou moins (celles de 1938 sont dans les pools).

Unités navales : Chaque unité qui a une date au dos de son pion de 1936 ou moins est placée sur la carte. Si la date est de 1937, l'unité est placée dans le pool de construction. L'Angleterre dispose de 110 Cps à placer au 1er tour lors du set-up.

Pourquoi ceci : on peut s'étonner de tant d'unités (navales principalement). Mais il faut prendre en considération que l'Historique du Scénario nous explique bien que l'Europe est à feu et à sang depuis 2 ans. L'Armée Française à déjà été en guerre, les Allemands sont sur le pied de guerre. Le Japon affronte les Chinois et les Anglais ont déjà fait un effort important avec plus de 250.000 hommes basés en Inde.

Un tableau complet des unités à placer (écrit pour l'instant sur papier) se joindra bientôt à ce document pour complèter et préciser le positionnement des Armées de chaque PM.

 

 

 

Rapport de Jeu semi-détaillé combinant le Scénario « L'Entente saura t-elle s'offrir le Monde ? », avec les pions et cartes de WIF FE et sous RAW 7.0. Jeu commencé en Juillet 2004 et terminé en Octobre 2004.

 

 

Pour ce troisième GR « Uchronique », je suis heureux d'y inviter deux joueurs de mon pays, l'Allemagne. Ces deux joueurs parlent correctement français et connaissent bien le Jeu. Il va falloir les contenter, je ne tiens an aucun cas à les décevoir.

 

Joueurs :

 

Erik : Italie, USA et France. Un joueur assez lunaire, certains diront lunatique. A participé à plusieurs conventions de WiF qui se sont tenues en Allemagne (à Cologne je crois, mais je n'en suis pas sûr). Il aime les Puissances Navales mais ne déteste pas l'emploi des chars :-)). Plutôt content de changer ses vieilles habitudes avec un nouveau Scénar. Il bredouille en Allemand quand il réfléchit, au grand dam des non-polyglottes « C'est vrai que là, tu m'irrites ! ».

 

Felix : U.R.S.S et Chine Communiste. Un ami d'Erik et de Chris. Un gars tout simplement génial. On lui cherche toujours un défaut, mais sans jamais y parvenir. LE joueur idéal et Chris est très heureux qu'il se joigne au groupe. Il apprécit de jouer des Etats assez puissants (aime particulièrement le système du rouleau compresseur). A parfois du mal à nous comprendre en français, mais Chris ou Erik traduit -c'est très rare, mais cela est arrivé-. N'apprécie pas les grandes réunions et aime les petits comités : « Quand il s'agit de jouer, si mon boulot me le permet, c'est moi qu'il faut appeler ». Doit partir pour la Pologne -où s'est marié un ami à lui- vers le milieu du Jeu, il est remplacé jusqu'à la fin du GR par Didier.

 

Didier : nouveau joueur qui nous fut trouvé par Stéphane. Après un premier jeu sous Wif où il joua un de mes Scénarios uchronique, il accepte de continuer sur sa lancée et de prendre au pied levé ces deux pays. Il a une bonne vue d'ensemble d'un front et dispose d'une érudition assez « étonnante ». Son surnom a été durant la partie « la Bibliothèque ». Il est jeune, il doit donc subir nos bêtises sans broncher ! (non je blague, je supporte pas çà), mais c'est vrai qu'ont est des cons (faut pas réunir 4-5 gars de 25-30 ans qui se connaissent depuis 10 ans, çà dégénère toujours). On l'a souvent entendu dire : « Et pourquoi je peux pas faire çà ?? ».

 

Stéphane (« Stéph » pour le groupe) : Allemagne. « The master » (c'est mieux quand on dit Meister, private joke). C'est un joueur expérimenté souvent aux mains des puissances terrestres. C'est un joueur qui suit les Scénarios Uchroniques avec un plaisir non feint (« J'ai l'habitude, mais cela ne m'empêche pas de toujours trouver une manière pour te mettre dedans »). Il est très curieux et cherche toujours à zieuter les pions auquels il ne devraient en aucun cas jeter un coup d'oeil. Ce n'est pas un grand lecteur des règles mais il a toujours une stratégie au début de partie qu'il garde jusqu'à la fin (c'est la mère de toutes les victoires). Les autres joueurs connaissent la qualité du personnage. « J'adore quand tu me bombardes, cela me permet de constater que tu ne sera pas assez fort pour ma prochaine attaque »).

 

Paul (« Paulo ») : Royaume-Uni et Chine Nationaliste. Journaliste (pigiste serait plus en rapport avec l'exercice exact de son travail quotidien) au Monde, son lieu de travail étant à 4-5 minutes à pied de notre site de jeu (qui à dit « de perdition » ?), il arrive toujours en premier avec des collations en nombre. On l'a pris pour çà ! Je rigooooooole. Un amateur de Jeux d'Histoire qui les trouvaient pour la plupart trop « imprécis ». C'est Chris qui le rencontra après que Paulo est envoyé une petite annonce dans Vae Victis. Il tomba vite dans la marmite de WiF mais avoue n'aimer pas trop les Uchronies. On a presque du le forcer pour le faire venir. « Je ne dit pas que c'est con de jouer çà, mais c'est vrai que c'est con ! Vous trouvez pas ? ».

 

Christophe (« Chris » pour tout le monde) : Japon et France Libre. Le ruleskeeper du groupe et créateur de ce nouveau scénario... Uchronie et géostratégie sont ses deux grands dadas (et WiF bien sûr). Joueur assez connaisseur de la gestion du Japon (« ce pays receuille tous mes suffrages, et mêle une gestion complète et totale sous WiF, yeepeeee »). Cette partie et l'obtention de ces deux pays sont donc en parfaite adéquation avec ses aspirations de maître du Monde Asiatique. Il parle parfois un peu bizarrement avec des haussements de voix et des onomatopées incompréhensibles (« Espèce de P..... de dé de M.... !!!! ») quand çà marche pas comme il le voudrait. Il est très intelligent et ce gars... c'est moi*.

 

* -vous comprenez mieux pourquoi des fleurs sont lancées souvent dans sa direction-.

 

 

Placement Initial :

 

Comme stipulé dans le scénario, on place nos unités en fonction.

 

URSS : Félix dispose ses nombreuses unités (incluant les réserves) sur sa frontière avec la Pologne principalement. Il envoit ses Sibériens et Joukov en Sibérie en position défensive. Une Armée à caractère offensif est installée devant la Finlande.

 

Allemagne : Stéph organise son armée devant la France et ne laisse rien face à la Pologne (il faut signaler qu'elle est neutre, mais çà choque toujours de voir l'allemand ne rien mettre devant elle, la force de la routine...). Quelques unités sont placées devant la Tchécoslovaquie. Une offensive allemande sur ce pays n'est pas dans les cartons de Stéph.

 

Italie : Erik place quelques unités en Lybie mais sinon principalement à Rome. 1 INF tient les frontières Nord avec l'Autriche. Soulagement Allemand.

 

France : Erik place tout ce qu'il peut sur la ligne Maginot. 1 TERR tient la Syrie et une autre l'Algérie, le reste est en France, en défense.

 

Angleterre : Paul place ses CPs sur la carte et constate que même 110 Cps cela ne lui laisse par une marge énorme. Il doit placer 3 INFs en Inde et Erik, au nom des Alliés, place 10 PARTs en Inde, sur les ressources principalement et une dans Delhi. Les TFs britanniques sont situées en Attlantique et une en Med. à Gibraltar. Les possessions en Asie ne sont pas garnisonnées et seules celles de Méditéranée sont occupées par des troupes en armes. Les Avions sont principalement basés en Métropole.

 

Japon : Chris booste la frontière avec la Chine et deux INFs sont tout de même placées devant les frontières avec la Russie.

 

Chine nationaliste : Paul prend ses dispositions et place ses armées en défense, il se tient sur la défensive dans les montagnes, les villes de l'est ne sont pas protégées.

 

USA : Erik dispose tout le potentiel militaire américain, quoique encore limité, sur la Côte Est. Une TERR pointe toutefois son nez aux Philippines, histoire d'indiquer l'existence des Etats-Unis sur cette partie du Monde.

 

Chris propose que pour profiter pleinement du nombre de joueurs (plutôt inhabituel), tous les joueurs marquent un petit descriptif de l'impulsion qu'ils ont joué. Celles qui caractérisent le mieux l'impulsion seront employées ici. A vous de voir ce que le groupe à pû écrire :

 

 

Tour 1 : J/A 38 – Les Pays-Bas n'attendent pas le coup de sifflet donnant le départ

Temps plutôt maussade, il veut certainement signifier sa tristesse face à la folie des hommes

 

« L'Entente (Allemagne et Royaume-Uni) se doit de dominer les débats en ce premier tour : elle aligne la Hollande (1 Chit). Je sens Erik se crisper, signe qu'il n'aime pas çà. C'est qu'un début. Ma luftwaffe envoit les premières bombes en ground strike, cela échoue à cause des piotes français bien courageux. La Wermacht, assez faible au point de vue comptable, prend son temps et se place devant la Belgique ».

« Avec l'offensive diplomatique de mon allié Stéph sur la Hollande, je me devais de continuer sur sa lancée : mon Armée en Inde se charge d'arriver en contact avec ces Partisans. 3 PARTs sont détruites, les autres peuvent tenter de resister, cela ne durera pas longtemps ».

 

 

Tour 2 : S/O 38 – La Belgique ne résiste qu'un instant, la Royale est au rendez-vous

Le soleil européen est là, et c'est tant mieux. Pluie en Asie.

 

« J'ai besoin d'une bonne base de départ contre la France, et la Belgique est parfaite pour çà. Je la DoW (2 Chits) et Bruxelles est prise. Un pilote est tué à cause de ces maudits français. Une attaque en Tchécoslovaquie ne donne rien. Une INF Tchéque contourne mes forces et cherche à rendre non-ravitaillées mes forces en fin de tour ».

« Comme je subis les assauts sans sourciller, il me fallait une première victoire pour mon peuple : La Royale sort en Mer du Nord et surprend 10 CPs Anglais soutenus par un NAV. Mes navires en coulent 6, et en aborte 2 de plus. La Home cherche à détecter, mais sans rien trouver ».

« Mes maigres forces tentent un assaut réussi sur les positions Nationalistes. Je ne peux pas vraiment exploiter, vu la météo qui s'abat sur mes troupes. »

 

 

Tour 3 : N/D 38 – Combats aériens au-dessus du ciel Français, les partisans en Inde restent introuvables

Neige et tempête.

 

« Voyant que je ne peux pas tenir mes deux fronts, tous mes renforts se placent devant la Tchécoslovaquie, mais sans l'attaquer. Le temps rend impossible la prise de Prague. L'INF tchèque qui méttait en danger mes lignes est bloquée par une MIL ».

« L'Angleterre ne peut que constater la ténacité des pilotes français et envoit ses forces aériennes contre eux. Les chasseurs de chaque côté engagent les hostilités et la moitié des forces françaises est abattu. Les anglais sont proche d'obtenir la maîtrise du ciel. En Inde, mes forces jouent à retrouver les PARTs disséminées sur mes ressources, c'est énervant surtout qu'à chaque tour une nouvelle PART apparaît. J'envoie une GAR supplémentaire en Inde ».

 

 

Tour 4 : J/F 39 – Fronts statiques en Europe, une TF de l'Entente en face de New-York

Quelques éclaircies en milieu de tour, ce sera les seuls bonnes nouvelles de la météo

 

« Les QGs Allemands piètiennent d'impatience face à l'obstination tchèque. Ils croient peut-être que les Français vont venir les secourir ! Qu'ils y viennent !!».

« Pour montrer la force navale des britanniques, j'envoie une TF devant la grande Amérique. Ca soulage et sa rajoute pas de Tension US !! -rires- ».

« La Chine Nationaliste décide un repli complet vers les montagnes en prévision d'une forte attaque du japonais qui ne peut cacher ses préparatifs à mes troupes de reconnaissance ».

 

 

Tour 5 : M/A 39 – Prague acculée à la reddition, l'Italie fait peur

Des éclaircies. Salvatrices ? Pas pour tout le Monde

 

« Ce temps est pour moi annonciateur de grandes victoires à venir : j'envoie mon armée contre Prague dans une bataille à 5:1, aidée par des soutiens terrestres massifs et incontestés. Elle tombe sans perte pour moi. Je vais pouvoir reformer une ligne d'attaque correcte contre la France ».

« Mes TFs parcourent les zones de combat et celle de Gibraltar part en Med. Erik m'annonce que si ma TF (la Z) arrête son mouvement en Eastern Italy, Rome déclarera à la prochaine impulsion la guerre à l'Entente ! J'obtempère, vu les regards affolés de Stéph, ma TF part pour l'Egypte ... Le ton est donné ».

« Il faut se faire respecter, même quand c'est Paulo en face. Rome est au bord de la guerre, je n'ai fait qu'indiquer les limites à ne pas franchir, surtout que sa TF escortait un TRS chargé d'une DiV. Pas de çà chez moi ! ».

 

 

Tour 6 : M/J 39 – L'Italie déclare la Guerre à l'Entente (-1 Chit)

Beau temps en Europe, pluie et tempête en Asie

 

« La tournure des événements est pratiquement parfaite pour moi : la moitié de la Wermacht se déplace à l'ouest pour rejoindre l'autre moitié, mes forces en Italie sont suffisantes pour bloquer durablement les Allemands et pourquoi pas attendre les Américains ! Graziani avance avec son Armée en Autriche, une force aérienne vient chercher les Allemands jusqu'en Tchécoslovaquie pour les flipper, c'est un succès. Tout se présente bien ».

« Erik va payer cher cette attaque dans le dos, j'indique à Stéph que j'ai des billes pour lui faire mal, je joue en premier : mes forces en Egypte avancent en Lybie et sont à 300 Km de Tripoli. La Lybie est très mal défendue. Mes TFs se placent en force en Mer d'Italie. 1 CP italien est coulé et il n'en reste plus que ravitaillant ses possessions Africaines. En Inde, c'est l'affolement : il reste 7 PARTs sur le territoire immense de Sa Majesté et ces indépendantistes jouent à se diviser aux quatre coins du pays pour continuer leurs maneouvres anti-coloniales ».

« La Wermacht en Tchécoslovquie ne souffle pas et se place maintenant face aux Armées Romaines. Ma Luftwaffe est mise à contribution pour arrêter les mouvements de mon voisin du Sud. Je suis à moitié soulagé de constater que les Français gardent une position défensive : est-ce que Erik ne me cacherait pas quelque chose ?? ».

 

 

Tour 7 : J/A 39 – Mais que fait la Russie ?

Un beau temps pour la Vieille Europe, Tornades en Asie

 

« J'emploie ma première Offensive Chit après avoir placé correctement mon armée en Italie. C'est une erreur, car même si mes forces avancent bien, je ne peux pas trop avancer en territoire Italien (l'Autriche est quand même vidée des italiens), la France est trop proche. Je décide de garder ce front comme cela jusqu'au bout. Mes réserves sont trop faibles et l'Italie n'est pas la Tchécoslovaquie ».

« Je vois Stéph, après une Offensive Chit bien utile, stopper son attaque sur les Italiens. Il ne laisse sur ce front que le stricte nécéssaire, le reste part dans ma direction. Cela va chauffer pour moi. Je me demande ce qu'attend Félix pour intervenir ! Il me répond qu'il préfère consolider ses forces avant de tenter quoi que ce soit. Je rigole en pensant que ce sont, cette fois, les Alliés de l'Ouest qui demandent un Second front à leurs amis de l'Est. Drôle d'Histoire ! » -rires-.

« Les marines Alliées se cachent devant mes cuirassiers. Mes convois sont un peu malmenés, mais les réserves les comblent aisément. Tripoli est à portée de bras, elle tombera sous peu ».

 

 

Tour 8 : S/O 39 – Opération Zerglung : échec face aux courageux Français

Assez beau temps, les femmes tricotent tout de même en prévision du froid annoncé

 

« Les forces allemandes sont prêtes et avancent en direction des lignes tricolores, elles sont clouées sur place par le feu des Artilleries Françaises, pourtant sévèrement bombardées précédemment !! Un assaut sur Lille échoue et voit la perte d'un Corps d'Infanterie. C'est rageant. Les Francais ne seront pas vaincus avant l'année prochaine, j'en bouffe mon veston ! ».

« Nous tiendrons !! Nous tiendrons tant que ce sera utile de la faire. Je ne peux pas dire plus ».

« Tripoli chute mais ses courageux défenseurs garderont à jamais la fierté de tout un Peuple ».

 

 

Tour 9 : N/D 39 – La France se trouve un nouvel allié : l'Espagne, le Japon lance une offensive en ... Russie!

La neige tombe drûe en Europe, le soleil prend son baluchon pour l'Asie

 

« Que croyait ses occidentaux ? Tokyo est seul maître de son destin et l'arrivée de ce Joukov en Sibérie ne laisse présager qu'un vent de colère divin sur la Région. Les Augures soufflent aux oreilles de l'Empereur qu'il est temps de baisser les masques et de réclamer par la force nos justes réctifications de frontières. La Guerre est officielle (-1 Chit) : plusieurs Armées d'Infanterie prennent d'assaut Vladivostock qui ne peut résister. Il faut employer tous les moyens possibles avant que la Russie n'emploie ses ruses de faible pour retrouver la paix, une paix de lâches ! Un Corps MECH fonce en profondeur et se retrouve bloquée par Joukov en personne. Si le ciel nous en laisse le temps, le tour suivant verra sa destruction irrémédiable ».

« Je ne pensais pas cela de Chris ! Quel stupide petit bridé !! m'attaquer !!! Vous imaginez !!!! On est dans le même camp. S'il voulait prendre des ressources en Sibérie, il aurait eu qu'à demander : il aurait toujours pu se brosser, mais il aurait au moins eu l'effort de demander ».

« La France, dans son combat contre le nazisme, voit l'arrivée de son Allié Espagnol à ses côtés (-0 Chit). Ce dernier envoit des troupes vers Lyon et plusieurs Corps assiègent Gibraltar : je vois les Anglais se préparer au départ en fourrant tout ce qu'ils peuvent dans leurs bagages !! Le camp Allié retrouve du baume au coeur ».

 

 

Tour 10 : J/F 40 – La Russie obtient la paix. Paris bombardée

Un hiver rigoureux

 

« Il fallait avant tout autre chose arrêter ce fou de japonais : j'ai préssé pour la paix et, malgré la volonté nipponne de continuer, Tokyo fut contraint et forcée de signer la Paix. J'espère que cela servira de leçon à tout futur agresseur : Moscou obtient toujours ce qu'il veut ! »

« Comme il était à attendre des Soviétiques, ils usèrent de leurs relations pour stopper net notre offensive. Mais ce n'est que partie remise ! ».

« La Luftwaffe, aidée par sa consoeur anglaise, accentue la pression sur les français et des LNDs bombardent Paris, cherchant à détruire l'Oil qu'Erik y a placée. Pas de chance, mais les forces aériennes françaises ne décollent plus pour intercepter ».

 

 

Tour 11 : M/A 40 – Paris est encerclée, Gibraltar tombe aux mains espagnoles

Beau temps dans l'ensemble en Europe, nuages noirs en Asie

 

« J'attendais ce moment avec impatience, mes armées emploient une seconde Offensive Chit sur les français. Lille est prise après un bombardement aérien intensif (ses défenseurs étaient au deux tiers flippés). Par un mouvement tournant, et malgré le redéploiement tricolore qui abandonne Maginot, la ligne de défense française est trouée à plusieurs endroits. L'aide espagnole n'empêche pas l'encerclement presque total de Paris : seul un hex reste aux mains des Français ».

« L'assaut allemand ne me surprend pas. Malheureusement les jets de dés n'étaient pas avec moi et j'ai vu la perte de 3 Corps en moins de deux impulsions. Paris est en danger, mais j'espère que l'appui des espagnols au tour suivant pourra dessérer le cordon mortel de la Wermacht autour de la ville. Pour éviter toute mauvaise surprise, plusieurs unités situées près du front Italien partent en Afrique, escortées par la Royale qui ne veux en aucun cas être dirigé par des forces françaises au diapason des nazis. Les forces ibériques, dans un assaut digne d'une fresque de Vasquez, élimine la TERR défendant Gibraltar. Celle-ci voit flotter au-dessus du mont Rodger, culminant à 700 mètres, le drapeau de la République d'Espagne ! ».

 

 

Tour 12 : M/J 41 – Paris tombe, Vichy est installée pour représenter les interêts français auprès de l'Entente. Statu-quo en Chine: Essoufflement de la Chine Communiste, renforcement des Nationalistes

Un tour mêlant tous les temps en Europe, pluie importantes en Asie

 

« J'ai employé des renseignements pour m'assurer de l'initiative : il ne fallait pas que les Alliés se servent en premier de leurs renforts pour désserer mon emprise sur Paris. Après un pillonnage de mes ART sur les défenseurs de la « plus belle ville du Monde », Rundstedt assure son soutien et l'Armée allemande obtient le dernier hex qui entourait Paris pour enfin lancer l'assaut proprement dit. L'attaque est à 3:1 +1, passée à 4:1 avec tous les soutiens terrestres des avions allemands qui dominent totalement le ciel. C'est une Victoire !! malgré la perte d'une INF dans les combats de rues. J'installe le Gouvernement de Vichy (+2 Chits), mais ce fut une jolie bourde de ma part : l'Espagne est bien retranchée derrière elle et va me gêner dans mon avance vers elle. Le tour suivant verra sa chute, deux mois après son apparition. En attendant, la Syrie, les territoires d'Extrème-Orient et la Maroc restent au service du Gouvernement de Vichy, mais l'Algérie et les territoires d'Afrique Noire sont aux mains des Français Libres ».

« Mes forces sont sur les talons des chinois mais je veux accentuer la pression sur les Communistes : des Ki prennent l'air pour flipper plus de 7 unités Communistes, 5 le deviennent. Les Corps de Marines font une percée dans les montagnes, les pertes sont costaud mais elles vont m'être utiles pour défaire doucement la ligne de défense des fils de Mao ».

 

 

Tour 13 : J/A 40 – Vichy chûte ! Les communistes Chinois subissent des pertes innombrables

Le Soleil saura t-il ouvrir les esprits européens ? Quelques éclaircies en Asie

 

« Ne supportant pas la protection que Vichy promet aux espagnols en retraite du front français vers leur pays, des unités allemandes avancent dans le territoire contrôlé par Pétain et amènent sa chute immédiate : voilà ce que Berlin répond à ces Français (il faut bien trouver une excuse). Les unités blindées de la Wermacht arrivent à former une ligne à 3 hexs à l'intérieur de l'Espagne, ils attendent de l'infanterie en provenance de Nantes et Lyon. Je vois Erik et ses Italiens me regarder en baissant la tête : l'heure de l'explication va sonner, si possible dès le tour prochain si le temps ne désorganise pas mes troupes ».

« Il fallait tout faire pour éviter que Chris ne lance une seconde guerre contre la Russie et comme je constatais qu'il se lançait sur mes troupes chinoises Communistes, je devais avant tout le forcer à ne pas dégarnir ce front pour celui de la Sibérie. Mao lança une grande offensive sur les postes avancées japonais. Les 2 FTRs qui formaient l'ossature de l'aviation communiste tentèrent un ground strike, mais l'un fut détruit (son pilote sauf), l'autre aborté. Pas moins de 6 Corps formèrent l'attaque principale, mais seuls 3 restèrent vivantes, pour la perte minime d'une division d'infanterie japonaise. Il est temps pour moi de bien garder les montagnes, et de me faire tout petit ».

 

 

Tour 14 : S/O 40 – Front Italien débordé, le Portugal envahie

L'Automne est bien là sur toute l'Europe, de jolies éclaircies viennent indiquer la fin de la Mousson en Asie

 

« Il faut faire un premier bilan après la chute de la France : si je veux prendre rapidement pied à l'est, l'Italie et l'Espagne ne doivent plus me barrer la route. J'avais prévu l'attaque sur la docile Italie après la chute de Paris, je dois m'y tenir. Le rapatriement par les Alpes des troupes de la Wermacht vers le front Italien se fit rapidment et correctement. Si bien que l'assaut contre le pays put commencer à la troisième impulsion : les Italiens tentèrent de résister, mais la qualité des troupes allemandes n'est plus à démontrer. Destination : Rome. Une attaque suicide d'Erik sur mes troupes de tête m'empêcha d'avancer comme je l'aurai voulu vers Rome, mais il reste à Erik au alentour de 11 unités (6 corps et 5 Groupes d'aviation). Il est temps pour notre allemand de naissance d'accepter la domination de Berlin sur l'ancien Empire Romain : je serai César avant les fêtes de noël de l'an 40 !! ».

« En fin de tour, je DoW le Portugal (+1 Chit) et lance Gort, accompagné d'1 MOT et d'1 INF, sur Lisbonne, les têtes de pont seront renforcées par Wavell et 3 INFs au tour suivant. L'Inde est pratiquement libérée, mais il à fallut pour cela l'aide d'une nouvelle MIL. Les effectifs en Inde sont plétoriques : 4 INFs, 1 MOT, 3 FTRs, 1 GAR et 2 MILs. En Lybie, maintenant anglaise, 1 INF (4-3) avance en Tunisie, elle ne s'arrêtera que quand Alger et la ressource seront anglaises. Les TFs présentes en Méditérannée refusent de passer Gibraltar (à vous d'imaginer les pertes que je subirais!!) et sont envoyées en Red Sea, pour venir gonfler les forces navales de l'Entente en Asie : le joueur Japonais se construit une Flotte qui augmente de 3 CVs par tour et j'aimerais bien lui mettre la patée... Les TFs de Méditérannée seront de retour pour annihiler les Italiens et les Français Libres une fois que Gibraltar reviendra à la Mère Patrie ».

 

 

Tour 15 : N/D 40 – Combats dans l'Océan Atlantique, Combats fratricides dans les montagnes de Chine du Nord, les Nationalistes ont un Pacte avec le Japon ?

Temps exécrable en Europe, l'Asie est sous le soleil (-Levant ?)

 

« Une honte s'abat en Chine : les Nationalistes nous attaquent dans notre dos ! Les japonais, semble t-il au courant, nous regardent s'affronter, l'arme dans son étui. Je soupçonne, non ! J'accuse Chris d'avoir pactisé avec les Nationalistes ! Je me vengerai, vous verrez ! ».

« ''Pourquoi pas ?'' Semble être le leitmotiv des Français Libres qui envoie leur flotte (7 BBs, 4 CAs) en Atlantique, droit vers l'Angleterre. Je relève le défi et, appuyé par des chasseurs basés au portugal, ma Flotte ABDA (8 BBs, 2 CVs et 2 CAs) est au rendez-vous. On se trouve tous les deux : la surprise est pour les Français qui choisissent un duel au canon. Bien leur en prit : mes 2 CAs sont endommagés et 1 BB avorte. Ma réponse part dans les eaux froides, aucun coup au but. A la seconde impulsion, les Français Libres nous surprennent une nouvelle fois et coule le Fidji, 2 BBs abortent, les Français voit aborter le Picquet. S'en est trop, et l'Amiral Andson, Commandant de la Flotte, ordonne le repli immédiat (personne ne se trouve). Cette victoire sera la dernière à mettre au crédit des Français qui ne demandent pas leur reste et quittent la zone ».

« Profiter de l'état de faiblesse des forces de Mao pour mieux le poignarder dans le dos, quelle jouissance ! Les combats engagés se terminent tous en ma faveur. Quand à savoir si les allégations de Félix sont vraies, et bien c'est un secret. En tout cas, les Nationalistes chassent pratiquement les commuistes de Chine, leur chute est pour bientôt, croisons les doigts ! ».

 

 

Tour 16 : J/F 41 – Echec devant Madrid, Alger prise. Le cousin US sort ses griffes à l'Ouest, Tokyo le défie devant le Monde entier

La neige tombe à gros flocons en Europe, le soleil disparaît peu à peu en Asie

 

« L'Agenda est serré en Europe et il faut un Barbarossa dans les plus brefs délais pour m'assurer une Victoire nette et sans bavure à la fin du jeu. Oui, j'y crois, pas vous ?. Pour mener à bien ce projet, il faut que Rome et Madrid tombent, et rapidement. La Wermacht est bien disposée en Italie, mais le temps est trop moche pour de bons ratios. L'Espagne est guère mieux, mais les blindés présents là-bas me poussent à tenter une attaque à 2 hexs de Madrid : elle échoue lamentablement et je perds une MECH dans le combat contre 1 INF pour l'Espagne. La joie de Paul qui fait capituler Lisbonne ne peut m'empêcher de me jeter des invectives pour la perte de cette si belle unité! ».

« Mes troupes, dans un sursaut du style de celui de la guerre d'Espagne contre Napoléon, prennent Lisbonne et me permet de placer idéalement mes forces pour soutenir mon allié pour les tours prochains en Espagne ».

« Il semble qu'une seconde Guerre contre la Russie ne soit pas au goût d'Erik qui me menace directement d'intervenir contre moi si je lance mes Corps contre la Sibérie. Mais que croit-il ce capitaliste ? Suis-je à ses ordres ? Peu m'importe la situation en Europe et les conséquences probables de mon acte, le Japon et sa population ont nécéssité de terre et de richesses et elle sait où les obtenir !! Les Occidentaux ne sont là que pour nous asservir mais nous ne courberons pas l'échine une fois de plus. Nous affirmons à l'ambassadeur Américain que le Japon ne saurait accepter les intimidations Occidentales qu'ont lui assène. Le Japon est millénaire et sa Victoire ne fait aucun doute ».

 

 

Tour 17 : M/A 41 – Le Japon DoW une seconde fois la Russie, Madrid et Rome s'affèssent lourdement face aux troupes de l'Entente

Qu'il est beau le soleil, qu'il est beau : mais seulement en Europe. La Pluie arrive en Asie

 

« Notre puissance est sans faille, tout comme la valeur de nos soldats. Pour mieux le montrer à ceux qui en doutent encore, Tokyo, seul contre tous, fièr de sa race, DoW la Russie (-1 Chit) dans un combat qui s'annonce mortel pour l'un des deux camps. 1905 ne sera donc pas la seule date de honte pour les Soviétiques. Malgré la pluie qui ralentit quelque peu notre avancée, celle-ci est sans équivoque. Moscou frémit en ce moment, mais il ne doit pas avoir peur : nous nous arrêterons avant sa prise, l'Empereur est trop magnanime dans ses promesses faites à un ennemi bléssé et à terre... ».

« L'ignoble attaque ne sera peut-être pas une victoire finale Soviétique, mais elle va être le tombeau de nombreux Japonais ! Je vais montrer que la Sibérie n'est pas une porte d'entrée à toutes les invasions. Près de 15 unités partent en direction de l'Extrème-Est, pour botter les fesses à cette sangsue bien trop gourmande ».

« Avec le beau temps de retour, il fallait bien pousser là où ça fait mal : la Wermacht lance tout d'abord une vaste offensive en Italie qui fait chûter Rome dans une attaque à 3:1+1, mais soutenue par plusieurs soutiens terrestre de la part de la Luftwaffe. Les pertes Allemandes sont très légères. Par contre, en Espagne, le courage des Espagnols fait froid dans le dos et ce n'est qu'une attaque désespérée de Gort et d'une MECH Anglaise sur Madrid qui la voit enfin tomber. Une autre unité Allemande Blindée est perdue durant cette campagne avec un groupe de Stukas ! L'Espagne serait-elle le début du déclin de l'Entente ?. Peu importe, maintenant, tout va être envoyé à l'Est, et tenter de profiter de la guerre russo-nipponne pour mettre un terme à l'existence de l'Unions Soviétique ».

 

 

Tour 18 : M/J 41 – Déferlement de troupes allemandes à la frontière Polonaise

Des tempêtes, plutôt inhabituelles, s'abattent en Europe. L'Asie subit des typhons et des tremblements de terre...politique

 

« J'avoue ici mon éttonnement quand à la Politique internationale de l'Empire du Soleil-Levant, mais il faut parfois accepter certaines compromissions pour voir triompher les valeurs de la Démocratie et des Libertés, celles des Etats-unis en gros !. Une conférence entre les USA et le Japon à put sceller les zones d'influence de chacun : le Japon poursuivra son offensive en Chine mais doit immédiatement arrêter celle en Sibérie et pourra en échange organiser son Empire sur les possessions anglaises en Asie quand les Etats-Unis entreront en guerre. Nous promettons de ne pas nous immiscer dans cette sphère à dominance Japonaise. Le Bluff de Tokyo avec sa pression sur la Russie, seul Etat encore capable de bloquer l'Entente à fonctionné, mais au prix d'un isolement majeur sur la table des Puissances qui comptent sur Terre. Washington peut être fière d'avoir trouver ce compromis qui satisfait toutes les parties ! ».

« Bien que la Sibérie ne puisse plus être un objectif à court terme, il est très instructif de constater qu'avec les armes on à tout ce que l'on cherche à obtenir. La Sphère de Co-prospérité est en marche : les Anglais ont du mourron à se faire.... ».

« Mes Armées avancent au pas de charge vers la Pologne, mais est-ce que ce sera suffisant pour pouvoir attaquer avant 42 ? j'ai des doutes ! ».

 

 

Tour 19 : J/A 41 – Réorganisation générale de l'Entente, combats navals en Méditéranée, le Japon et l'URSS font la paix et signent un Pacte de non-agression.

Soleil radieux en Europe, Boue et tornade en Asie

 

« Je dois dire que malgré tous mes efforts durant ce tour, il reste encore plusieurs Corps vitaux à Barbarossa qui sont en arrière de mes lignes. Pour ce qui est du placement, Paul m'a demandé de modifier les plans prévus : l'Anglais se place en Italie et en Espagne et tient bien l'Afrique du Nord, cela me permet de rapatrier encore quelques Corps d'Italie bienvenues pour les futurs combats à l'Est. En prévision de cela, j'aligne la Suède (+1 Chit) et le Danemark (+0 Chit) dans la même impulsion ».

« Il semble que retrouver Gibraltar est donné quelques idées de revanche à mes Amiraux : la TF Home part en Red Sea où se cache les restes de la marine italienne (le nouveau pays mère italien est Addis Abbeba) : les Anglais surprennent leurs adversaires et voient un feu du Littorio couler le Ramilies. Je ne sais pas pourquoi, mais les Italiens prirent la mesure du combat et coulèrent 2 BBs. Lord Gambert lui-même cabla qu'il ne supporterait pas une défaite et l'Amirauté reprit le combat rassénéré : 1 CA et 1 BB italien touchèrent le fond pour 1 BB endommagé anglais. Les Italiens disparurent ensuite sous un écran de fumée protecteur. La Home resta sur zone, au cas-où ».

« Je ne suis pas très heureux d'indiquer que la Paix fut signée entre L'Union Soviétique et le Japon, qui me prive d'une victoire contre Chris et après l'humiliation de l'entremise américaine dans cette affaire. Mais bon, c'est la Paix des braves et je sais pourquoi Chris à tenté tout çà. Je lui souhaite une mauvaise chance contre l'Anglais - mouarf- . Je proposa un pacte de neutralité de 5 ans, qui fut accepté par Tokyo (+2 Chits). Il est certain que la prochaine fois, je frapperai en premier ».

 

 

Tour 20 : S/O 41 – L'Entente DoW la Pologne

La pluie est partout présente, sans toutefois empêcher les mouvements militaires

 

« J'avoue que je dois forcément le faire maintenant, sinon je suis sur de le regretter plus tard, et ce n'est qu'un jeu. Si j'attends 42, j'aurai rapidement l'Américain sous les pattes, et çà c'est difficile. Il faut espérer une météo plutôt clémente et une avancée en Russie plus rapide que prévue. L'Entente DoW la Pologne (+2 Chits) et ses forces s'en prennent aux forces polonaises installées dans Varsovie et Danzig principalement. Poznan et Lodz sont prises et la poussée est très bonne : Varsovie est encerclée sans problème, mais sa chute est différée par le soutien de 2 LNDs russes sur les attaquants ! Il semble que la pluie ne les ait pas gêné, à défaut de ma Luftwaffe qui n'ose pas sortir ses chasseurs de leurs beaux hangars. La pluie redoublant en fin de tour, Varsovie reste aux mains des Polonais tandis qu'une brêve escarmouche intervient avec la sortie de la flotte polonaise vers Léningrad, mais elle est étrillée jusqu'au dernier par la Kriegsmarine ».

 

 

Tour 21 : N/D 41 – La Pologne ne résiste pas. L'U.R.S.S lance un appel à l'Entente puis au Monde

La neige arrive en Europe, et elle accompagnée de Blizzard vers la fin. Soleil en Asie pour la moitié du tour (court)

 

« Pour chercher à bien préparer la véritable attaque sur la Russie, j'aligne la Hongrie (+1 Chit) et la Bulgarie (+0 Chit). Ils envoient plusieurs Corps en Pologne du Sud, vers Lvov, sans défense. La neige qui tombe sur mes troupes ne me pousse pas à l'aternoiement et je lance l'attaque sur Varsovie qui chute : la MIL de Hamburg est détruite dans l'assaut ».

« Face à l'attaque allemande qui va déferler sur mon pays, je me décide à tenter un ultime effort pour la Paix en demandant à l'Entente un Pacte de Non-Agression, qui m'est refusé, le Monde sera seul juge de la volonté de ce pays de détruire les fondements de toute société qui lui fait de l'ombre ».

« Quel est ce pleutre qui se masque le visage d'un linge de soie pour ne pas voir les dangers qui se bousculent à sa porte ??? Moscou va se battre jusqu'au bout, et si c'est pas le cas, mes Marines iront récuperer directement à Moscou ce Dictateur par la peau du cul pour Guantanamo, illico presto ! ».

 

 

Tour 22 : J/F 42 – L'U.R.S.S montre ses muscles, l'Entente feint la cécité

Le Blizzard en Europe, été indien en Asie

 

« Le mauvais temps me fait comprendre que j'aurai dû retarder l'attaque sur la Pologne : j'avance d'un hex par impulsion, et encore. Dans tous les cas, je suis à la frontière Russo-polonaise maintenant et mes positions sont offensives et n'attendent qu'un petit déclic de la météo pour voir la Wermacht fondre sur les russes ».

« Je crois avoir été mal comprit par mes Collègues alliés qui ont vu mon offre de paix comme un acte de faiblesse, mais ce n'est en aucun cas le cas. Je vous le dit à tous, l'Entente va s'embourber dans mes terres, souffrir devant mes défenses, mourrir contre mes contre-offensives, et il est normal, en gentleman, d'offrir une reddition honorable au futur perdant ».

« La Russie est un Tigre de papier qui à déjà montré ses faiblesses en Sibérie. Moscou est le ver dans la pomme, fruit que nous irons cueuillir même jusqu'au font de Irtskourk s'il le faut ! ».

NdR : S'en suit des jouttes verbales inarrables car trop gamines pour des lecteurs adultes.

 

 

Tour 23 : M/A 42 – Barbarossa est déclenchée officiellement. Le Japon stagne devant la Chine Nationaliste qui élimine définitivement les Communistes Chinois.

Pluie en Asie et nuages légers en Europe

 

« Incroyable mais vrai, ce sont les Nationalistes qui me sortent du jeu alors que les Japonais regardent, ravis, cette traîtrise décidément très « asiatique ». Il ne faut plus mentir et constater que le Japon a organisé notre chute par un accord avec la Chine Nationaliste, mais à quel prix ?? Pour l'instant, aucune attaque entre les deux ne s'est déroulée, je crois bien que c'est ceci qui a du être le contenu de leur accord. C'est du joli !! ».

« Le beau temps est un peu revenu, juste pour moi c'est sûr ! Mes Armées foncent en territoire russe : Minsk est encerclée, mais n'est pas attaquée, trop bien garnisonnée. Kaunas est libérée dans un assaut blindé. Le front Nord voit la plupart de ses unités flippées et les QGs sont trop loin pour réorganiser les troupes les plus en avant. Je crains une contre-attaque qui ne viendra pas : les Russes sont bien cachés derrière toutes les rivières et cours d'eau qu'ils ont trouvé et n'en sortent pas, cette tactique m'est utile sur mon Front Nord en ce moment, mais le sera t-elle plus tard ? Moins sur. Le Front Centre, avec l'aide d'unités Hongroises et Bulgares, atteint l'hex de voie férrée 1931. Il n'y a pas, pour l'instant de Front Sud, je préfère aligner la Roumanie au tour prochain : des unités du front Centre viendront alors soutenir les Roumains en Ukraine. Je garde aussi les cartes Finlandaises et Norvégiennes pour plus tard, quand j'aurai libéré tous les Etats Baltes et une fois que je verrai les faubourgs de Léningrad ».

 

 

Tour 24 : M/J 42 – La Wermacht embraye la seconde, Bucarest s'aligne sur l'Entente

Quelques gouttes de pluie mais le soleil domine en Europe, nuages noirs et tempêtes en Asie

 

« Enfin du beau temps comme on en voudrait tout le temps. Minsk tombe au prix d'une ENG, ce qui est très coûteux pour moi. Gomel est atteint et, face aux forces russes tapies derrière, ne subit pas d'assaut. Mon Front Centre a 2 hexs de Smolensk. Vitebsk est attaquée et ne résiste pas. Riga est à son tour libérée et Talinn est encerclée entre la mer où se trouve 3 BBs et leurs feux côtiers et mes forces en mouvement. Je profite du mouvement de mes forces d'infanterie vers Kiev pour aligner la Roumanie (+1 Chit), le Front Sud est crée avec l'arrivée d'une demi-douzaine de Corps Allemands venus du Front Centre. Odessa chute et l'avancée du Front Centre sur Kiev est consolidée ».

« Mes forces, bien retranchées, voyent les Allemands avoir quelques difficultés à prendre mes villes. La Wermacht n'est pas éssouflée mais elle semble se ''marcher dessus'' avec plusieurs unités qui se gênent. L'arrivée de la Roumanie est un exemple de mes propos : des troupes allemandes venant des bordures ouest de Gomel ont été envoyées cahin-caha vers le Sud pur soutenir les forces de Bucarest. J'aurai aligné la Roumanie puis mit avec ses forces quelques unités allemandes... Je vois dans cette organisation de réelles failles, j'espère rapidement en profiter ».

 

 

Tour 25 : J/A 42 – La Wermacht est en troisième. Les Anglais de nouveau en difficulté en Inde

Il fait très chaud en Europe, on retire les tea-shirts à Berlin (pas vous Mesdames !)tandis qu'à Tokyo les habitants s'emmitoufflent sous de lourds manteaux d'Hiver

 

« Face aux étendues immenses de la Russie, si je veux profiter au maximum du calme à l'Ouest, il faut se servir d'une Offensive Chit, que je fais et qui permet à la Wermacht d'empôcher de réels gains de terrain : Tallinn, Gomel, Kiev, Smolensk, Nikolayev, Dnepropetrovsk et Pskov sont les nouvelles villes allemandes ! La Luftwaffe à subit beaucoup de pertes en cherchant, durant chaque attaque sur une cité, d'apporter son soutien terrestre aux unités au sol. Les Soviétiques, malgré les pertes subies par l'Armée Rouge, gardent une attitude plutôt joviale. Je serai à leur place, je chercherais un compromis avec moi. Que je n'accpterai pas, cela va de soit ! Un Corps d'Infanterie étant à 2 hexs de Léningrad, je décide d'aligner la Finlande (+1 Chit) et la Norvège (+1 Chit), qui, accompagnées de la Suède, vont peser sur le Front Finlandais. Enfin, j'imagine. Ne présageons pas du futur. En tout cas, tout est bien partit ».

« Les succès de mon allié en Russie sont toujours bon à prenre mais n'empêchent pas que la lutte anti-partisans que je mène depuis maintenant 4 ans est vraiement exténuante et me prend beaucoup trop de troupes : les ressources indiennes sont importantes mais après un rapide coût d'oeil sur les unités que j'y laisse, cela devient difficile à tenir. De plus, au-delà d'une unité de partisans par tour, la valeur de garnison étant divisée de moitié en Inde, cela implique qu'à chaque fois que l'Inde risque de recevoir une unité, elle la reçoit....Chiantissime, surtout que je vois le Japonais tourner de plus en plus vers mes possessions en Extrème-orient, ce qui n'arrange pas mes affaires ».

« Voir Stéph satisfait de lui me remplit de joie. Il doit certainement être très content de gagner plusieurs de mes villes et d'avancer en profondeur chez moi, mais il oublie que l'Armée Rouge n'a pas subie de lourdes pertes et que les unités perdues le sont principalement dans les villes prises par les forces de l'Entente. En conséquence, je suis en train de monter en puissance comme rarement et je pense que dès 43, je saurai monter une puissante contre-attaque qui enrayera la mécanique allemande. Mais pour l'instant, je crois que je dois me consacrer à stopper la furia des Scandinaves ! C'est une autre affaire ».

 

 

Tour 26 : S/O 42 – Les Etats-Unis se joignent à la Guerre. Bataille navale en Atlantique. La Wermacht est en quatrième. Les Scandinaves font des miracles.

La pluie ne laisse pas sa place comme çà et reprend le dessus en Europe. Redoux en Asie

 

« Il est temps pour nous de nous joindre à tous les Etats qui luttent pour la Démocratie; comme c'est dommage de ne pas y voir notre cousin Anglais, mais le Lord Gambert a embrassé la voie du Mal, nous allons devoir le remettre dans le droit chemin : la TF-16 sort des côtes Est et part en Atlantique où navigue la TF Home : les 6 CVs US avec leurs CVPs font tourner la tête aux Anglais qui perdent 2 CVs, pourtant fortement escortés par 7 Bbs, mais la quantité ne remplace jamais la qualité, c'est bien connu et c'est ma devise. Les Anglais quittent le combat, il ne devra plus jamais y avoir de forces anglaises près de nos côtes. La TF-17 (4 CAs) part pour les côtes du Vénézuéla et coule les 5 CPs anglais qui convoyaient le pétrole Vénézuélien vers Londres. »

« Les forces Allemandes continuent leur progression et la presqu'île de Kerch est atteinte avec Sébastopol assiégée, peut-être pour longtemps, vu les forces terrestres russes présentes (Force totale de 17). Berdiansk et Stalino au sud sont prises. Tula est face à la Wermacht tandis que Léningrad est assiégée par les Allemands au sud et au nord par les Finlandais. Pendant ce temps, les Scandinaves avancent formidablement bien et prennent l'hex 504 qui coupe Mourmasnk du reste de la Russie. Mourmasnk est d'ailleurs en grand danger, les Norvégiens à ses portes. Le Russe lançà une contre-attaque sur ces Norvégiens, à 5:1 mais ne subirent aucune perte contrairement aux Russes qui perdirent 2 Corps ! ».

 

 

Tour 27 : N/D 42 – Le Vénézuéla DoWed, envahie et mise hors de combat. Le Japon dans le Camp Allié, l'Australie rejoint l'Entente

Neige en Russie, temps agréable à vivre en Asie

 

« Pour ne pas trop s'éterniser, j'envoie une force d'invasion (2 MARs, 2 INFs et 2 QGs) sur le Vénézuéla pour arrêter l'envoi de pétrole aux Forces de l'Entente. L'Angleterre, échaudée, envoit des SMs patrouiller dans les eaux d'Atlantique. Ils ne trouvent rien, tout comme mes NAVs d'interception. Le Vénézuéla, ne disposant que d'une MIL (2-2) venue de Caracas ne resiste pas et la démonstration de force semble calmer les menaces d'entrer en guerre de l'Argentine aux côtés de l'Entente. Le pétrole Vénézuélien ira dorénavant directement dans les raffineries américaines, il n'y a pas de petit profit ! Je suis capitaliste que je sache !! ».

« Le Japon annonce aux ambassadeurs de l'Entente présents à Tokyo que le Japon s'engage dans le Second Conflit Mondial aux côtés des Alliés. Les Ambassades de l'Entente sont alors assiégées par une foule en colère, la Police à reçu l'ordre de ne pas réagir. Les Ambassadeurs sont lynchés. Tokyo est attristée par cette nouvelle bien déplaisante...mais c'est la Guerre. Profitant de cet instant de faiblesse, je lance mes soldats sur plusieurs théâtres d'opérations et attaquent comme un python : fort et vite. J'aligne le Siam et prend en main l'Indochine. Une invasion survient à Hong-Kong, mal défendue (une INF 2-2 flippée), un autre à Kuala Lumpur et après avoir DoW Le NEI, une flotte d'invasion arrive devant Medan et Padang, toutes deux prises. Le pétrole étant une denrée recherchée en ces temps troublés, une MAR envahie le Nord de Bornéo, à Sarawak. Trop tardive, la flotte Anglaise appareillée à Tricomalee et a Bombay fait face aux Forces Mobile et Strike (totalisant 14 CVs, 7 BBs et 8 CAs). L'aéronavale Japonaise surprend lourdement les Anglais qui voient la perte de 4 CVs sur les 5 Cvs qu'ils avaient engagé. Il va de soit que cette victoire fut célébrée comme elle se doit dans toutes les chaumières de la Péninsule ».

« Dans un effort pour sortir la tête de l'eau, j'aligne l'Australie dans un but bien bas : cela va amener le Japon a s'y intérésséer et me permettre de gagner du temps pour renforcer mes Flottes et me consolider en Inde. C'est bas, je sais, mais la Guerre demande des sacrifices, et Canberra sera la carotte. Moi je serai le bâton qui, dans quelques tours, saura frapper le bridé sur son crâne ».

 

Changement de joueur pour l'U.R.S.S : Félix est rempkacé par Didier. Tous nos voeux pour les nouveaux Mariés !!

 

 

Tour 28 : J/F 43 – Combats navals hors du commun en Atlantique Nord

L'Europe est sous la neige, l'Asie est sous un ciel rempli d'UVs

 

« Mes forces avancent très peu et ne voient que peu de choses sous le blizzard, seules les troupes à ski se sont battues entre elles devant Mourmansk, sans rien donner de positif ni de négatif, d'ailleurs ! ».

« Me sentant un peu engoncé après ma défaite en Asie, je me devais de reprendre la main : les Sous-marins que j'avais envoyé en Mouths of the Amazon suite à l'invasion américaine au Vénézuéla furent coulés, ce qui m'incita à chercher l'engagement avec toutes mes forces navales disponibles contre les TFs US pas encore tout à fait opérationnelles. Je pû rassembler 7 CVs, 11 BBs et 7 CAs contre les Américains qui totalisaient 9 CVs, 7 BBs et 9 CAs. On se trouva tous les deux en North Atlantic et j'inclus la Section 0 où se trouvaient 7 CPs Américains ainsi que 4 AMPHs, SCS et TRS US. Je n'avais pas le droit à l'erreur et les premiers jets me confortèrent dans mes espérances : 2 CVs US repartaient dans leurs docks, direction la réparation. Je perdis 1 CVP en retour. Enfin, 1 BB Anglais fut coulé pour 1 BB et 3 CAs US, j'obtint ma revanche, mes moussaillons repartaient des lieux avec l'espoir de faire bientôt de même contre les Japonais ».

« J'avoue que Paul à bien joué sur ce coup-là, je me croyais vraiment dominant avec un nombre de CVs plus important et les Facteurs AA bien plus haut que ceux de mon adversaire. Je crois que je dois encore recouvrer des forces avant d'envisager me mouiller encore contre Paul ».

« Le dispositif que m'a laissé Félix est très bon, le seul point noir provient de la Scandinavie qui m'a l'air en piteux état. Sinon, Félix m'a laissé quelques directives claires. Je pense que je serai à même de les appliquer dans les tours à venir ».

 

 

Tour 29 : M/A 43 – Le Blizzard stoppe les Armées Allemandes. Les Anglais se repositionnent en attendant de meilleurs jours

Encore de la neige en Europe. Temps acceptable en Asie

 

« Mes forces continuent leurs progressions et il n'y a plus que Singapour qui me resiste encore concernant les possessions Anglaises dans ma nouvelle ''Sphère de co-prospérité''. Des renforts venus de Chine arrivent à destination de la ville fortifiée dans le but de la prendre d'assaut. Mes CVPs de la Flotte Mobile flippent, avec grand mal, ses occupants. A 4:1 -1, je décide de lancer la 23eme Armée (6-3) et la 25 Armée (8-3) sous un bombardement côtier intensif, avec le renfort d'une aviation nombreuse sur la cité de Singapour : elle tombe !. Le drapeau de la Patrie flotte fièrement et ferme l'Asie aux colons et à tous nos autres ennemis. Après le Nord de Bornéo, c'est le Sud qui tombe sous ma coupe, la TERR la défendant ne fit pas grand effort devant mes Marines bien décidés à prendre le pétrole qui s'y trouve au nom de l'Empereur. Batavia est déclarée nouvelle capitale administrative de la Région Sud et le NEI est totalement conquise après la prise de la Nouvelle-Guinée. Il me reste encore les îles britanniques Papua ainsi que celles situées à sa droite. J'envoie aussi plusieurs Armées en provenance de Chine vers le Siam, face à la Birmanie ».

« Contre les forces navales qui me pressent autant en Asie qu'en Atlantique, je me dois d'y répondre comme il le faut. : les TFs Home et Med sont en Atlantique (avec 11 CVs, 13 Bbs et 8 CAs), la TF Abda reste en Angleterre, pour éviter toute surprise (5 CAs et 4 BBs), la Force H et la Force Z (13 CVs, 15 BBs et 12 CAs) sont en Inde et recoivent plusieurs renforts provenant de mon pool de réparation qui ne désemplit pas, malheureusement. Dans tous les cas, je constate que mes positions en Asie sont intenables, car bien trop lointaines de mes positions sécurisées et la future attaque que Chris n'hésitera pas à lancer sur moi risque bien de ne pas me laisser beaucoup de répit. J'envisage de reculer ma Home et ma Med. en Bay of Biscay pour être mieux soutenue par l'aviation basée à terre, mais je me ravise, il n'est pas encore temps pour cela. Je tiens l'Atlantique Nord, il va falloir m'en déloger par la force plutôt qu'un retrait qui incitera Erik à passer plus vite à l'offensive. De plus, je reçois en fin de tour le soutien de la Kriegsmarine soutenue par toute la flotte de Scandinavie (avec un totale de 3 CVs, 15 BBs et 7 CAs). Les combats futurs vont être furieux et acharnés ».

« Le mauvais temps me panique quelque peu : il faut voir les renforts du Soviétiques pour se rendre compte de la difficulté qui s'offre à moi pour l'année 43.... Je ne me sens pas tout à fait sûr de ma Victoire finale, en fin de compte -rires-. Mes renforts arrivent en Pologne où des Partisans ont décidé de bloquer les voies de chemin de fer certainement pour empêcher l'arrivée de nouvelles unités Allemandes sur le front Soviétique. Dans tous les cas, je dois me lançer à l'assaut au tour suivant, le Blizzard frappe encore mes forces durant la fin du tour ».

 

 

Tour 30 : M/J 43 – Barbarossa s'arrête et la Wermacht ne passera pas la cinquième.

Temps ensoleillé en Europe, horrible temps en Asie

 

« Face aux Armées Soviétiques qui me scrutaient, l'oeil mauvais, il me fallait une Offensive Chit pour briser leurs lignes. Au Nord, Léningrad est totalement encerclée et une offensive malheureuse des Finlandais se solde par une perte de deux Corps pour l'Entente. Pas un bon début. Au centre, les Armées devant Tula n'avancent guère, les positions de l'Armée Rouge sont vraiment difficiles à faire bouger, Moscou s'éloigne... Au sud, j'arrive à atteindre Stalino en bousculant les soviets, mais leurs réserves se placent en avant de cette ville, je ne peux pas avancer plus. Durant l'offensive, j'ai perdu 4 Corps et la moitié de mes forces sont retournées. La Luftwaffe à perdu 4 Groupes de Chasseurs et 1 de Bombardier. Je crois, à la vue de cette fin de tour, que j'envisage un dernier assaut sur Léningrad au tour à venir, mais le reste va se positionner en défense si je ne veux pas subir une nouvelle Bérézina. J'oubliais, les Scandinaves ont plus de succès et prennent Mourmansk. Toutefois, le front se stabilise même la-bas, sur la voie férrée que mes forces avaient préalablement coupée il y a un an déjà. Félix à très bien colmaté les trous que mes soldats avaient réussi à réaliser il y a quelques mois, je ne peux plus vraiment prendre du terrain supplémentaire. Nous verrons au tour suivant ».

« L'offensive allemande est stoppée, et je crois pour de bon. Les Roumains sont devant Stalino, mais leurs pertes sont trop lourdes pour oser continuer à en prendre encore de supplémentaires. Une attaque sur Léningrad s'est soldée par de lourdes pertes et je ne crois pas qu'ils recommenceront de sitôt. Mes forces aériennes se sont montrées vaillantes et assez efficaces pour abattre en interception le tiers des soutiens terrestre et ground strike lancés par mon ennemi. J'attends l'Hiver avec impatience, mes forces seront alors encore plus nombreuses et plus fortes ».

« J'envisage une attaque contre ls forces navales anglaises mais me ravisent vu la situation en Russie : j'ai encore un peu de temps, mais il est crucial pour moi de prendre l'avantage sur les TFs de Sir Gambert pour prendre ensuite pied sur le territoire national de ces fascistes anglais. Je totalise, toutes mes flottes réunies, 20 CVs, il va y avoir du sport au prochain acte ».

 

 

Tour 31 : J/A 43 – Trafalgar Anglais en Atlantique, les Allemands définitivement sur la défensive

Il brille partout en Europe et en Amérique, l'Asie subit des tsunamis d'une rare violence

 

« Comme convenu, j'envois toutes mes TFs en Atlantique Nord, c'est une vraie Armada qui prend les mers. La TF que je nomme « Térrible » arrive dans les eaux en question et cherche les deux flottes Anglaises qui y sont : on se trouve (pas aux premières impulsions où aucune des flottes n'est détectée). Le combat s'engage, la surprise est avec les USA : un combat aéronaval à tout d'abord lieu. Les CVPs de chaque camp engagent le combat : 4 CVPs Anglais abattus pour 6 Américains. Egalité. 2 BBs sont touchés pour les Anglais mais 5 US sont endommagés en retour. Les Anglais prennent de l'assurance et ce sont eux qui obtiennent la surprise au second round : pourquoi ne pas retenter ce qui les a bien aidé au premier round, l'aéronavale !2 CVPs abattus et 1 aborté dans le camp de l'Entente, 4 pour les USA. Cela devient lourd. 3 CAs et 2 BBs abortés pour les Anglais tandis que 1 CV et 2 BBs partent pour la Floride. J'envisage un retrait mais les piles de l'Anglais soint bien moins épaisses que les miennes, ses Flottes subissent, en ratio, plus que ma « Térrible ». On continue et un dernier round s'éxécute. Fort de la jeunesse de mes marins, il semble que la chance suive cette fougue, la surprise est pour moi et je me lance dans un duel au canon, qui pourtant avantage les Anglais. Je fais bien. 3 CVs anglais sont coulés ''yessssssssss'' avec 1 CA et 1 BB, je subis de légères touches et ne perd qu'un BB et voit 2 CAs abortés, là c'est beau ! Les Flottes britanniques décident de plier bagage et rejoignent les ports Anglais tandis que l'ABDa et la Kriegsmarine se placent en Bay of Biscay. Je ne pousse pas plus loin ma chance et repart sur la côte Est pansser mes plaies, mais vainqueur! ».

« Peste de dés, je croyais en ma bonne étoile jusqu'au début du dernier round, mais couler 3 de mes CVs, c'était vraiment trop pour un Amiral comme moi. Je suis obligé de fuir le combat et d'envisager ce que j'avais imaginé de longue date : la Bay of Biscay comme repli et ce sera là que ce situera le prochain combat. L'arrivée de l'ABDA et de la Kriegsmarine de mon allié feront écran tant que je n'aurai pas réparé et complété les CVPs manquants de mes CVs. Là, j'ai un gros point sur le coeur. La Victoire est contestée, mais elle est encore possible. Heureux que mes Battleships aient tout de même bien fait mal aux TFs réunies d 'Erik ».

« Comme prévu, je lance une dernière offensive sur Léningrad à 3:1, mais c'est une égalité parfaite : 1 Corps perdu pour chacun, cela sonne le glas de Barbarossa. Partout ailleurs, j'arrange mes lignes et profite du beau temps pour pousser là où c'est encore possible. A la fin du tour, le front n'a pratiquement pas bougé, mais les Russes ont perdu 8 Corps d'Infanterie et 2 Corps Motorisés, mais quand je regarde ses réserves, je me dit que ces pertes sont ridicules et qu'il en faudrait environ 3 fois plus pour espérer continuer l'offensive, donc pas de dilmne : la défensive à compter du tour prochain ».

 

 

Tour 32 : S/O 43 – Les Japonais prennent la Papouasie Nouvelle-Guinée. Offensive d'Automne Soviétique. La Turquie s'aligne avec l'Entente.

Une forte pluie au début, la neige en fin de tour en Europe, des nuages secs en Asie

 

« La TF Strike escorte 2 AMPHs qui débarquent 2 DiV MAR en Papouasie et qui l'occupent facilement. Les Iles Carolines sont en effervescence et voient embarquer une INF qui débarque dans Rabaul en Nouvelle-Bretagne, non défendue. La nouvelle Irlande et les Iles Admirallty sont prises à leur tour. Il ne reste plus qu'à planifier l'attaque principale : celle de l'Australie !, mais cela va me demander du temps et de'énormes efforts. Dans le même temps, les unités australiennes se regroupent dssn leur pays mère à Canberra, Darwin, et sur la ligne Caims-Townsville-Mackay. Les forces navales australiennes sont à Brisbane ».

« Contre toute attente, je n'attends pas la neige pour lancer une vaste attaque sur le dispositif, désormais défensif, allemand. Je commence d'abord par le nord et je tente de briser les lignes des Scandinaves (2/3 d'unités Suédoises), mais c'est un échec. J'ai plus de chances sur les forces devant Tula qui reculent en désordre et perdent 2 Corps face à mes blindés regroupés sur cette région. Au sud, les Roumains amorcent une retraite pour combler le trou réalisé à quelques hexs de Smolensk ».

« Pour tenter d'enrayer la machine russe, j'aligne la Turquie qui place ses unités à la frontière soviétique. Les Russes se tournent vers cette nouvelle menace et stoppent leur offensive sur mon Front Sud, c'est déjà çà... Sinon, partout ailleurs, je recule, les blindés soviétiques tentent un encerclement, mais les Corps SS tiennent bon devant Tula ».

 

 

Tour 33 : N/D 43 – Têtes de pont japonaises en Australie, les Russes au talon de la Wermacht en retraite

Un froid sec en Russie, des températures estivales en Asie

 

« Poussé par les vents divins, l'Empereur donne son accord pour une invasion de l'Australie, ''dernier rempart de l'Entente en Asie''. Des Forces venues de Chine sont dépéchées en urgence pour satisfaire la réussite du projet, tandis que Yamamoto, Hata et Terauchi recoivent le commandement des Armées d'Invasion. Une Offensive Chit est employée et la Flotte Combined organise les festivités en se plaçant en contact avec les Forces navales Australiennes venues se positionner devant Darwin (le lieu exact de destination prévu des forces d'invasion !). Les forces navales de l'Empereur subissent des pertes importantes mais parviennent à couler ou aborter les Australiens. Une invasion à lieu sur Darwin (défendue) et ses environs : l'invasion est à 2:1 devenue 3:1 avec tous les soutiens du ciel et de la mer. Le débarquement réussi mais une INF est perdue pour les Alliés. Plusieurs Corps prennent position sur les têtes de pont et avancent en territoire Australien ».

« L'armée Rouge ne fait pas beaucoup d'efforts et avancent sur les positions anciennement défendues par la Wermacht qui amorce un retrait complet devant mes soldats. Seules des attaques de la Luftwaffe flippent quelques-une de mes unités. C'est plus difficile en Ukraine, car il semble que Stéph ne veuille pas reculer, par peur, je présume, de mes LNDs quadri-moteurs à long rayon d'action capables de toucher Ploesti. Je ne pousse pas trop l'ennemi dans cette région. Je préfère me positionner comme il faut devant les Turcs sur les montagnes du Caucase. 2 LNDs russes partent flipper, et réussissent leur mission, des unités d'infanterie Turques en avant de leurs lignes ».

 

 

Tour 34 : J/F 44 – Recul australien. L'Armée Rouge fonce vers Mourmansk.

Temps variable en Europe : pluie, tempête ou lizzard. Nuages en Asie

 

« Le territoire est vaste en Australie, mais mes forces n'ont pas mission de parcourir tout le territoire : 5 INFs et 3 MARS avancent vers Caims qui chute face à la fureur japonaise, échaudée par le soleil qui tape puissamment. Les Australiens reculent et tiennent les 3 hexs horizontaux depuis la mer et Townsville, ils cherchent visiblement à ralentir mes forces. Je rebase des unités aériennes aussi proches que possible de la zone des combats pour assurer un soutien conséquent aux troupes de Yamamoto. Plusieurs autres unités en provenance de Tokyo et Singapour sont acheminées en Australie sur les têtes de pont australiennes désormais vérouillées. J'arrête là la production de la Marine, qui est fortement bien proportionnée : je dispose de plus de 25 CVs au total, ce qui est énorme. L'infanterie et quelques groupes de chasseurs sont désormais en production ».

« Vu le retrait des forces allemandes qui se tiennent sur une ligne Léningrad -Kiev, je décide de forcer les Scandinaves à quitter la mère patrie avec le regroupement de toutes mes unités à ski face à eux. Appuyés par les Sibériens, mes forces brisent et obtiennent une percée face aux Suédois, Mourmansk entend les bruits des combats et sera rapidement libérée ».

 

 

Tour 35 : M/A 44 – Léningrad et Mourmasnk retrouvent la santé. Canberra est aux pieds des Japonais, Assaut à la « soviétique » en Turquie

De la neige en Europe, une période de sécheresse s'abat sur toute l'Asie

 

« Les Forces Soviétiques peuvent être fières d'elles : dans un assaut impéccable, Mourmansk est libérée de leurs geôliers Norvégiens. Ceux-ci sont renvoyés à leurs frontières sans difficulté. L'Armée Rouge arrive devant les assiégeurs de Léningrad et une poussée de tout le peuple les jette à terre : Helsinki est maintenant en grand danger. J'ai eu beaucoup moins de pôt en Turquie où mes forces lancèrent, sous la direction de Timoshenko, une offensive d'infanterie qui ne fut pas appuyée par l'aviation, trop occupée en Ukraine pour enrayer les Patrouilles aériennes de Combat de la Luftwaffe. Cette attaque se solda par une grosse défaite et la perte de 3 Corps d'Infanterie pour aucune Turque. Staline prépare une purge contre ses Maréchaux... ».

« Les Marines montrent ce qu'ils savent faire et percent la maigre ligne australienne qui s'oppose à eux. L'avance irrésistible s'arrête devant la capitale, Canberra. Sa chute est programmée à plus ou moins brève échéance, selon les caprices du temps ».

 

 

Tour 36 : M/J 44 – Canberra tombe, scellant le destin de l'Australie. La Russie avance sur tous les Fronts, Helsinki demande l'arrêt des combats

Le temps est modifié par les Renseignements Japonais : encore du mauvais en Europe, le soleil décide de rester encore présent en Asie

 

« Je ne devais pas trop m'inquièter pour le temps, il est avec les Libérateurs de l'Asie chaque fois que cela est nécéssaire !. Canberra est attaquée par 3 Corps d'Infanterie et 1 Corps Motorisé. Les habitants affolés voient les japonais déferler dans la ville. Le Gouvernement Australien tombe et est remplacé par un plus malléable, aux mains de nos diplomates. Une forte garnison va rester dans le pays pour ne pas laisser trop d'espoir aux partisans qui envisagent de poindre le bout de leur nez ».

« Ce n'est pas parce que le temps est maussade que je dois ralentir mes combattants : ils ont soif de conquête et ne s'arrêteront pas à nos frontières. Helsinki est prise et les deux Corps Finlandais qui la défendaient sont détruits. La Finlande se retire du jeu, et de un !. L'Armée Rouge arrive à Tallinn et de nombreux collaborationnistes sont jetés au cachot. 2 Corps SS tiennent le Front Balte, mais malgré les efforts de l'aviation, ils résistent encore. Au centre, les Marais du Pripet sont atteints et les blindés contournent cette difficulté pour prendre à revers les Mécanisés de la Wermacht qui nous attendent à l'ouest. En Ukraine, Kiev est reprise tandis que Sébastopol, assiégée depuis S/O 42, retrouve la joie avec le retrait allemand de devant la citadelle de la Mer Noire ! ».

 

 

Tour 37 : J/A 44 – L'Armée Rouge déroule. Les Etats-Unis tombent dans un piège.

Quel beau rayons du soleil ! L'Europe peut en être fière. Pour l'Asie, on verra plus tard !

 

« Satisfait de l'entame de l'année 1944, je me sers d'une Offensive Chit pour acculer l'Allemand. Mes forces poussent en Finlande et atteignent les frontières de la Suède. Riga et Kaunas sont reprises tandis que la Biélorussie est redevenue Russe. L'Ukraine est désormais tout à moi et plusieurs Groupes de Bombardiers mènent un bombardement Stratégique sur Ploesti qui ne détruit rien mais force un redéploiement de la Luftwaffe au Sud alors que son soutien au Nord contre mes Blindés me gênaient constamment ».

« La situation étant plutôt favorable pour les Alliés dans ce tour, je lançà ma TF ''Térrible'' à l'assaut de la Bay of Biscay où stationne 2 TFs de l'Entente dont celle de Doenitz. Au contact, je fut pris par surprise par des milliers de Swordfish en provenance des côtes Anglaises, mes CVPs ne purent les abattre tous et je perdis 3 BBs et 5 CAs (dont 4 repartirent immédiatement à l'Ouest) pour 2 Swordfish abattus. Paul avait bien prévu le coup et m'attendait de pied ferme dans cette zone avec la ferme intention de se venger de l'affront précédent en Atlantique Nord. Les TFs de l'Entente me trouvèrent et je subis un pillonnage en règle par les canons de 400mm des navires de surface Allemands, cela me coûta la perte définitive de 3 BBs. Mes Battleships étaient en portion congrue, mais mes CVs et ses avions embarqués cherchaient le contact contre ces deux TFs manquant cruellement de soutien aérien au-dessus d'elle. Malheureusement, la surprise étant encore du côté de l'Entente, qui décide un duel au canon : 3 CAs US abortent et 1 CV est endommagé pour aucune perte ennemie. Je décide un repli et j'envisage une autre tactique bien plus osée, mais certainement bien mieux payante... Vous verrez ! ».

 

 

Tour 38 : S/O 44 – Les Soviétiques aux portes de Keonigsberg, Bucarest ne peux pas résister. La Pologne est le théâtre des combats.

Temps agréable, mais frais en fin de tour, en Europe. Les mers se déchaînent en Asie

 

« Les Suédois et les Norvégiens, appuyés par la Luftwaffe, cherchent à m'empêcher de briser Stocköhlm, ils y parviennent mais pour une courte durée, je retenterai au tour prochain. Je perds 4 Corps d'Infanterie dans cette affaire, je ne l'oublierais pas. Mon Front Balte est bien soulagé du départ des chasseurs Allemands vers d'autres fronts et je peux atteindre, avec mes blindés, les faubourgs de Konigsberg, très fortement défendue. Sur mon front Polonais, les frontières polonaises sont dépassées et les lignes allemandes enfoncées. Des Corps de réserve allemands viennent freiner la percée mais la percée a soufflé 3 Corps Allemands dont un Motorisée. Au sud, mes troupes poussent en direction de Bucarest qui ne résiste pas depuis le retrait allemand du pays. La Roumanie subit du même coup de sévères pertes de frontières à notre avantage. C'est le prix minimum à payer pour avoir frayer avec les ordures nazies. En ce qui concerne le Front du Caucase, mes troupes d'infanterie, appuyées par des bombardements d'ART et un soutien enfin important de LNDs escortés lourdement par plusieurs Groupes de Chasseurs, parviennent à désorganiser les Turcs dans les montagnes du Sud-Est de la Turquie. Ezurum et Trabzon sont prises, mais j'avoue que je m'intérèsse moins au Front de Turquie depuis les victoires de l'Armée Rouge en Pologne, c'est humain, et je crois que la reddition d'Ankara pourra attendre quelques tours... A chacun ses priorités ! ».

« Ma victoire en Bay of Biscay m'a démontré que je pouvais très bien résister aux TFs US si un fort soutien aérien m'était disponible. Les pertes des tours précédents ne sont pas encore complètement recouvrées, mais la Vieille Europe, comme Bush dirait, est encore très bien défendue. Un débarquement sur la France ou l'Espagne s'éloigne pour le ''ricain'' ».

 

 

Tour 39 : N/D 44 – Offensive en Pologne, Le Japon attaque en Birmanie. La Chine Nationaliste est déclarée « Traître à l'Entente ». Défaite navale anglaise sur les côtes du Siam

La Neige est au garde-à-vous en Europe, le vent chasse les nuages en Asie

 

« L'Armée Rouge reçoit l'ordre de pousser ses forces sur tout les Fronts : Konigsberg est encerclée tandis que Danzig est prise. Varsovie recouvre la liberté après un combat homérique entre Corps Motorisés des deux Camps : 3 MOT Russes sont en flammes et 1 MECH Allemande subit le même sort. Krakow est libérée à son tour par une offensive d'infanterie qui a nécéssité de gros moyens aériens. Les troupes Bulgares, retranchées dérrière le Danube, attendent, anxieuses, l'attaque soviétique qui ne vient pas encore. Soyez patients !. Une attaque sur Budapest échoue avec l'intervention d'un Corps Motorisé SS. Hitler semble tenir cette ville en haute estime : une flotte aérienne vient y détruire l'Usine Rouge. ''Hitler, ne soit pas trop attachée à ce qui va devenir une ville où ne subsistera que des pans de murs'' ».

« Les troupes de Umeru basées à Chiengmai et Bangkok, au Siam, lancent une attaque contre les forces britanniques basées là-bas. Rangoon et Mandalay sont prises, mais les puits de pétrole résistent encore. Deux INFs de Chine avancent en direction du front birman pour soutenir leurs frères ».

« Il est inacceptable de voir la passivité volontaire de la Chine Nationaliste face à son voisin et ennemi japonais. Hummm, je dois dire que je joue autant l'Angleterre et la Chine Nationaliste, donc j'avoue que je me tire une balle dans le pied en disant cela...Il y a toujours une explication à chaque situation, je vous la donnerai plus tard ».

 

 

Tour 40 : J/F 45 – Le Reich au bord de la noyade, l'U.R.S.S se charge des auxilliaires avant de passer au plat principal

Un froid implacable en Europe, le froid recouvre aussi les terres d'Asie

 

« Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? J'envisage de foncer jusqu'à Berlin avec une Offensive Chit, mais le temps et le Front de Scandinavie et celui de Turquie m'empêchent de me concentrer correctement dessus. Je dois donc m'occuper et finir ses deux Fronts au plus tôt. Mes forces sont devant Stockolhm, mais elle résiste à mon attaque, je perds encore 2 Corps (1 MIL et 1 GAR) dans l'attaque. S'en est assez !. En Turquie, mes troupes foncent sur Ankara et se flippent dans le mouvement. Les deux attaques sont reportées au prochain tour, mais la tournure des évènements sera bien différent en M/A, c'est certain.En Hongrie et en Bulgarie, mes troupes affrontent le fer de lance de l'Entente dans des combats acharnés pour la prise de leurs capitales (le Danube n'a pas résisté). C'est un échec pour toutes les deux -je pense que j'ai du mal à maîtriser les soutiens que je peux appliquer à une attaque, Chris m'aide en me montrant comment les réaliser, j'écoute et je regarde, merci boss- mais les Russes ont des réserves innombrables tandis que Berlin n'a pratiquement plus rien à mettrre devant mes forces. Konigsberg tombe, la Prusse Orientale est passée par le fer. S'en est finit de l'esprit martial Allemand, ''la Bibliothèque va faire rendre les armes à ce bon vieux Stéph, l'inventeur de ce surnom ridicule. C'est le bizuté qui maîtrise le bizut !'' ».

 

 

Tour 41 : M/A 45 – Sofia, Budapest, Stockolm et Ankara s'écroulent. La Bulgarie, la Hongrie, la Turquie et la Suède capitulent

La colère des eaux est énorme en Asie, l'Europe retrouve les gouttes du dégel

 

« Comme convenu, l'Armée Rouge lance un assaut sur Ankara qui voit au-dessus de son ciel des PARAs sauter. Le dernier FTR Turque est abattu en tentant d'intercepter les ATRs. Ankara tombe la première. Pour me faciliter le boulot, les Norvégiens tentent une contre-attaque devant Stockolm, ''ils sont fous ces norvégiens !''. L'assaut échoue devant un Corps de Montagne Soviétique très énervé et la capitale suédoise ne peut résister à ma poussée : les Suédois sortent de l'Entente. La prise de Sofia était obligatoire, toutes les Armées Bulgares sont empilées dessus mais le largage de centaines de milliers de bombes sur la ville (Bombardement en Tapis) disruptent tous les défenseurs. Une ARM russe entre la première dans la ville en ruine, la Bulgarie rejoint le camp des perdants ! Et ce n'est pas finit, le château de cartes qui s'écroule de tous les côtés provoque aussi la perte pour l'Entente de Budapest, qui ne peut résister, malgré un véritable acharnement de la part de Berlin pour la garder en jeu, aux Armées Blindées massées dans la région. Stéph m'explique que sa prise rend la capitale Allemande menacée par le Sud, c'est pas faux, mais je suis lion d'avoir sa vision encore, mais ''çà viendra'' me dit Chris, j'ai plus qu'à ! -rires- ».

 

 

Tour 42 : M/J 45 – Débarquement Américain au Royaume-uni, Les Japonais s'accrochent sur les plages indiennes. La Russie appuie là où ça fait mal.

Beau temps dans l'ensemble Européen, des cumulus noirs dans la stratosphère Asiatique

 

« Mes forces sont fin-prêtes, le moral de l'Entente au plus bas. Tout çà s'annonce bien : je dispose deux TFs gigantesques (15 CVs et autant de BBs et CAs pour chacune d'elles) avec un nombre maximal de TRS et AMPHs bourrés à craquer dans une Super Combinée. La première TF arrive en Bay of Biscay tandis que l'autre se place en Féroés Gap. L'Anglais s'alarme et lance tout ce qu'il à contre la première, croyant à un débarquement en France, ''désolé p'tit gars, tu te trompes !'' La TF en Bay of Biscay voit s'abattre sur elle un feu d'enfer de la Royal Air Force : elle perd au environ de 7 BBs et 3 CAs mais tient bon. Les TRs déchargent leur cargaison sur Derry, Belfast, Waterford, Cork et Dublin. L'Irlande dans son ensemble est truffée de troupes US, les 2 TFs américaines restent en mer et descendront d'un box ».

« Face au dispositif anglais en Inde, dû principalement aux efforts des partisans mais aussi en vue de tenir cette province côute que coûte contre moi, je pouvais soit ne rien envisager sur elle ou bien répondre à l'invitation anglaise. C'est cette dernière option que je pris finalement, mais le défi est tout de même très risqué : mes TFs se regroupent en Bay of Bengal et sont détectées par les deux TFs britanniques, le combat s'engage et chaque camp voit la perte de plusieurs CVs, mais la Marine Impériale prend le dessus et renvoit la marine Anglaise à ses chères études. Des navires amphibies de débarquement apparaîssent entre les navires de combats de l'Empereur et débarquent à Madras, Cocanda et Chittagong, cette dernière est aussitôt sécurisée par l'arrivée d'une GAR venue de Birmanie. Les Anglais décident de ne pas attendre plus longtemps et envoient tout ce qui marche contre les têtes de pont. Malgré le soutien massif des Zéros, les Japonais sont acculés et ne tiennent plus que leurs hexs de départ, l'invasion risque de tourner au fiasco ».

« Consacrant tout mon temps à la dernière main sur mon Offensive d'été en Europe qui doit se dérouler en J/A 45, je décida que cela n'était pas une raison pour ne rien faire : je lança mes chars sur Prague qui fut libérée sans trop de pertes (''sans trop'' veux dire ''pas mal de pertes, mais assez facilement remplacées''). Kolberg est prise sur la côte. Les Allemands renforcent comme ils le peuvent Berlin (unités de fortification). Oslo est bientôt dans mes mains ».

 

 

Tour 43 : J/A 45 – Les Américains mettent un pied en Ecosse et aux Pays de Galles. Berlin est atteinte, mais pas mise à mort.

Le temps est aussi fabuleux en Europe qu'horrible en Asie

 

« Il me fallait montrer au monde que l'Entente était proche de mourir avant la fin de la partie, mes troupes prirent alors le chemin des péniches de débarquement et prirent d'assaut les plages de l'Ouest Anglaises : Glasgow fut la première à subir la colère des cousins Américains, bientôt suivie par Pembroke et Liverpool, mal défendue. Je n'avais plus qu'à consolider mes plages pour prendre le reste des villes Anglaises. Les forces terrestres anglaises ? me demanderez-vous. Elles parsèment l'Europe : Italie, Espagne, France, mais pas grand chose dans leur pays Mère et c'est tant mieux.

La Royal Navy, sévèrement battue en Asie, est repartie en Med. tandis que les flottes Européennes partirent sur Brest et Kiel ».

« Je du m'arracher, le terme est pas trop fort, pour arriver sur une ligne Stettin-Dresden, toutes deux envahies par l'Armée Rouge. Les Allemands ont préssé sur tout le Front pour me ralentir et la Luftwaffe, toujours puissante, flippa et détruisit même quelques unités. Près de 7 Corps ou Armées Blindées sont devant Berlin, mais pour qu'elle tombe, il faut l'encercler et la pillonner, ce que je ne peux pas encore faire dans les deux cas. Oslo me résiste encore, les Norvégiens sont mes pires ennemis, Staline promet une vraie vengeance sur ce pays! ».

« Le temps me sauve littéralement de la défaite en Inde : les unités en face de moi se retrouvent désorganisées d'avec leurs QGs, empêtrés avec des Partisans opportunément placés entre eux et leurs troupes qui font face aux miennes. Le secours, s'il y a, ne pourra venir que d'Inde du Nord-Est où des troupes venues de Birmanie chercheront à rejoindre au plus vite les têtes de pont encerclées ».

 

Evènements qui seraient à 100% intervenues au tour suivant :

Berlin aurait été encerclée (mais pas attaquée).

Oslo aurait été conquise.

Les têtes de pont japonaises en Inde auraient été au 2/3 balayées avant que n'arrive les troupes du Mikado depuis la Birmanie.

Londres aurait été conquise par les troupes US.

Une nouvelle bataille navale se serait déroulée en Bay of Biscay (les 2 intervenants la prévoyait à coup sûr) si les deux flottes se seraient trouvées.

 

 

 

Fin du jeu

 

Voici, avant les habituels discours et constatations d'après match, les points de Victoire de chaque pays.

 

Puissance Majeure

Points prévus

Points effectifs

Résultat

Chine Nat.

1

3

2

CW

13

8

-5

France

5

1

-4

Allemagne

16

9

-7

Italie

2

1

-1

Japon

4

11

7

USA

15

15

0

URSS et Chine Communiste

11

19

8

Total

67

67

 

 

 

Des constatations d'ordre générales : La force Russe est sans conteste la principale d'Europe. Bien que l'Américain est un pied en Europe, l'Anglais n'est pas totalement vaincu et peut encore faire souffrir l'Américain pendant quelques mois. La Présence Japonaise en Inde est à court terme rendue difficile par les forces Anglaises présentes là-bas (11 Corps terrestres, 4 groupes d'Aviations), mais, à long terme, la pression mise par les partisans rend inévitable la chute du Joyau de La Couronne aux troupes du Japon, à moins que la Chine Nationaliste ne s'emploie à contraindre les Japonais à un repli.

 

 

Vos remarques sur ce jeu ?

 

Italie, France et USA : Erik : « L'Entente est sacrément puissante et c'est vrai qu'allier la Baleine avec l'Eléphant est vraiment difficile à contrer.

Pour l'Italie, sa prise rapide m'empêcha d'imaginer de meilleures scénarios que la fuite jusqu'à Addis Abbeba. Le dernier coup porté par Paul fut l'attaque du reste de ma Flotte en Red Sea, on n'entendra plus parler de l'Italie jusqu'à la fin du jeu.

Pour la France, c'était tout autre avec des combats très violents dans le Nord du pays après la chute de la Belgique. Les Allemands mirent tous leurs efforts pour franchir mes lignes juqu'à Paris et bien que le jeu n'est commencé qu'en J/A 38, ce ne fut que fin 1940 que la France dut rendre les armes. Beau fait d'armes tout de même.

Pour les US d'Amérique, je dois dire que mon principal effort de guerre fut porté sur la construction des CVs et d'une flotte de guerre largement supérieure en nombre et en qualité face à l'Anglais qui mobilisa bien ses forces en retour. Il me contra en Atlantique Nord et cela me retarda de plus de 6 mois sur mon attaque en Europe. Quoi qu'en dise les loques de l'Entente (Paul et Stéph), j'avais prévu l'attaque sur l'Angleterre comme base d'invasion depuis mon entrée en Guerre : on peut pas avancer en France alors que l'Angleterre reste inviolée, cela paraît évident, mais je crois que la soudaineté et la force de l'attaque stupéfia mes adversaires, plus que le lieu exact de l'attaque. Cela m'arrangea bien de voir que les forces anglaises étaient éparpillées sur le Monde entier avec une préférence pour l'Inde où ces buveurs de thé s'étaient embourbés coûte que coûte pour ne pas perdre leur magnifique pays. Ensuite, face au marteau et à l'enclume soviétique, je pouvais calmement penser à bien finir le jeu en débarquant en Wales et Scotland, ces régions étant vraiment peu ou pas défendues du tout. Seul Londres m'aurait posé un problème avec 3 Corps empilés (dont une ENG). Mais le jeu s'achève comme çà, je ne reste pas sur ma fin si vous voulez tout savoir ».

Allemagne : Stéphane : « Des combats terrestres comme je les aime : bien chaud, bien violents, bien sanglants. J'aurai du être boucher moi si j'avais sû :-).

 

 

Pour l'Allemagne, les deux fronts qui s'offraient à moi en début de partie ne me disait rien qui vaille, et j'ai d'abord voulu tenter de les régler en même temps. Pas si évident et je changis de tactique en commençant par le plus faible : Prague chûta alors et je croyais que les choses s'arrangeaient pour moi quand Rome annonça son entrée en guerre. Il faut comprendre que je ne visais qu'une chose : il fallait attaquer la Pologne au plus tard en M/A 41, et appliquer Barbarossa au début de M/J ou au pire J/A 41, mais pas après. Et c'est ce qui me trottait tout le temps dans ma petite tête durant ces précieux tours. Avec l'arrivée de l'Italie, je n'avais pratiquement plus aucune chance de pouvoir réaliser ce projet. Je commençà par attaquer le plus faible (je me répête ??) en employant une Offensive Chit sur l'Italie, cela démarra bien mais les Français se placèrent à leurs frontières avec l'Italie, ce qui m'obligea à m'arrêter face à des armées italiennes qui gardaient la ligne comme à l'entraînement. Cela me permit de rapatrier pas mal de troupes vers la France qui ne put résister que peu de temps. Vichy fut décidé mais j'oubliais que son territoire était entre moi et l'Espagne. Je ne voulais en aucun cas me sentir gêné dans mes mouvements. Deux mois après sa création, voilà que Vichy était virtuellement jetée aux patûres, Pétain séquestré, et les Français sous ma coupe pour de bon. L'attaque allait rapidement suivre en Espagne et en Italie et ne me posa pas la moindre difficulté, mais il était trop tard pour un Barbarossa en M/A 41... Les troupes allemandes arrivèrent pour constater que les troupes réservites d'Allemagne avaient déjà attaquées la Pologne, mais le temps était trop mauvais pour avancer sur la Russie. Il fallut attendre début 1942 pour percer comme je l'envisageais en Union Soviétique, les victoires s'accumulaient mais les Russes étaient toujours bien retranchées et vers le début de 1943, malgré le soutien Roumain, Bulgare, Hongrois, Danois, Finlandais, Norvégien, Suédois et enfin Turc, rien ne pût faire reculer l'Armée Rouge. Les assauts qu'elle mena entre mi-43 et mi-45 ne me laissèrent aucun répit et chaque tour voyait la perte d'un Allié de l'Entente. S'en était bien finit de mes espoirs de conquête en Russie. A la fin du Scénario, les Rouges étaient aux portes de Berlin mais sans parvenir à la prendre (ils n'ont pas essayé du reste). Il me restait l'Allemagne de l'Ouest, la France, la Belgique, la Hollande, l'Espagne, l'Italie, le Portugal et un bout de la Norvège (au centre). Cela ne faisait pas lourd mais cela montrait aussi que l'Allemagne est un adversaire coriace contre tout ennemi. Voila, c'est tout, mais c'est déjà beaucoup ! ».

 

 

URSS-Chine Communiste : Félix puis Didier (c'est ce dernier qui narrera).

« Pour l'U.R.S.S, je dois dire que mon arrivée dans le jeu fut un peu tardive, mais me laissait vraiment le beau rôle après la très bonne défense que Félix à pû produire avec les forces Armées Soviétiques. La seule difficulté qui me posa quelques soucis était ce qui se passait avec les Scandinaves qui tenaient très bien le front Nord. Heureusement la situation s'améliora partout ailleurs et les Scandinaves durent lacher du lest avec Léningrad libérée et Helsinki en danger. C'est toujours bien de commencer un jeu en position d'attaquant, avec la possibilité de subir des pertes énormes et de pouvoir presque toujours les combler. Comme c'était ma seconde partie, j'ai fait de nombreuses erreurs -pas honte de le dire, çà fait partie de l'apprentissage- mais elles furent souvent sans grand danger grace à mes réserves. Ce qui me plût le plus était sans doute la course à Berlin, Stéph cherchait par tous les moyens à me ralentir, mais nous avions tous deux en tête sa défense pour l'un, sa prise pour l'autre. Une bataille mémorable s'organisa autour de Budapest que les Unités SS, pour la plupart, tinrent pendant 6 mois alors que mes Armées de la Garde s'évertuaient à la prendre par dessus tout. A ce jeu, l'U.R.S.S est imparable et la ville fut prise. J'ai apprécié aussi l'arrivée de la Turquie alors que j'engageai mes forces en Ukraine. C'est vrai que là, j'ai certainement agi comme l'avait voulu Stéph en stoppant mon offensive en Ukraine et en me jettant sur les pauvres turcs qui n'en demandaient pas tant ».

 

 

Japon et France Libre : Chris : « Quel ''drôle de Guerre'', comme diraient les Français !.

Pour le Japon, il fallait avant tout autre chose s'assurer d'une production suffisante chaque tour : les CVs devaient sortir au-moins 3 fois chaque tour. Comme je savais que Erik envisageait une intervention US en Asie, ce qui me ''gênait'' au plus haut point, j'envisagea une Guerre Russo-Japonaise comme carte à jouer dans mon duel diplomatique avec les Etats-Unis. Une guerre (où Félix fut hors de lui, on le comprend) mais vite cadenassée par mon adversaire d'un soir, puis une Seconde où Félix, avant l'attaque, demanda à Erik de me menacer pour éviter les combats en Sibérie, les menaces ne firent pas changer les plans de Tokyo qui avança en Sibérie avec d'impréssionnantes forces, prenant au piège les maigres unités soviétiques de la Région. Erik ne mit pas longtemps, face à une Barbarossa qui s'approchait, à me demander mes conditions pour arrêter sine die ma guerre en Russie. C'était gagné. Les USA promirent de ne pas intervenir du tout en Asie et me donnèrent carte blanche pour réaliser mes desseins hégémoniques de petit dictateur asiatique. Ensuite, peu avant l'arrivée en guerre des USA, je m'entendis avec le Chinois Nationaliste pour que ce dernier ''finisse'' les Communistes en échange d'une paix ''tacite'' entre nos deux Etats jusqu'à la fin de la Guerre. Paul savait parfaitement, jouant autant l'Angleterre que les Nationalistes, que cette accord de paix signifiait que le Japon s'en prendrait directement et rapidement aux possessions anglaises en Asie du Sud-est, mais il semble qu'il préféra cela à une Guerre entre Nationalistes et Japonais, au grand dam des Alliés et surtout de Félix qui voyait ses forces Communistes s'effondrer face à la force conjointe des Japonais et des Nationalistes Chinois. Je comprends son désarroi, mais je joue pour mes Points de Victoire, pas pour les siens -on à l'habitude de se tirer les pattes quand on joue des jeux de Diplo pure-. Ensuite, les assauts sur le NEI (fortement défendue avec toutes les troupes bataves qu'Amsterdam à pû m'envoyer) m'ont tenû en haleine plusieurs tours, mais le pétrôle gagné les valait bien. Les possessions britanniques tombèrent et c'est là que le plan de Paul se découvrit : l'Australie entra en jeu et c'était clair que cette carotte allait me faire courir vers elle, ce n'est pas si souvent qu'un aussi beau pays s'offre à vous :-)). Sa conquête due être minutieusement préparée, je craignais vraiment une mauvaise préparation qui me gâcherait toute la fin de partie, ce ne fut pas le cas et Canberra obéit désormais aux ordres de son nouveau maître du Nord. Des combats navals survinrent en milieu de jeu et les Forces Navales se Sa Majesté montrèrent leur efficacité : je perdis au total plus de 10 CVs et cela ralentit mon arrivée devant la façade asiatique de l'Inde. Je crois avoir un peu précipité les choses avec tous ces débarquements, ils n'auraient peut-être pas dû arriver à cet instant, l'avancée de mes troupes terrestres en Inde du Nord-est était bien suffisant pour prendre l'Inde avant la mi-46.

Pour la France Libre, il faut être honnête, sa position était rendue obsolète dès sa création, car l'Anglais joua parfaitement en lui serrant le cou sur toutes ses positions Africaines. Seuls les territoires en Asie résistèrent, mais, loin des combats, avec les Japonais les écartant volontairement de ses théâtres d'Opérations -hégémoniques vous dites ?-, les unités de ce pays ne firent pas pencher la balance et furent souvent un poid mort plutôt qu'autre chose ».

 

 

 

Royaume-Uni et Chine Nationaliste : Paul : « Je fut, je crois, le principal protagoniste de cette Partie et je n'ai pas à m'en plaindre. Le début de partie fut plutôt calme et le reste, totalement acharnée !

Pour la Chine Nationaliste, j'avoue ici que mon Alliance contre-nature avec le Japon peut paraître ''incongrue'', mais j'avais le choix : soit aider le Japon et lui prendre de précieuses villes aux Communistes et ensuite contrôler en Asie du Sud-Est avec mes possessions Anglaises ou bien laisser le CoCo seul contre Tokyo puis ensuite ne pas pouvoir bien maîtriser ''ma bête'' qui sauterait certainement sur des territoires que je ne voudrais pas abandonner. Autrement dit, ce pacte oral me laissa libre de taper sur le Coco jusqu'à sa reddition et ensuite la Chine Nationaliste pouvait dormir sur ses deux oreilles jusqu'à la fin du jeu, assurant du même coup des points de Victoire qui ne viendraient pas dans la poche de Chris. Toi avoir comprit ou moi recommencer ?.

Pour le Royaume-Uni, le combat fut incroyablement serré. La première grande bataille se déroula dans les eaux de l'Atlantique Nord avec une victoire de mes forces qui néttoyèrent pour près de 8 mois les eaux de mes amis les américains. Erik en était vert. Il prit sa revanche comme je m'y attendais toujours dans ces mêmes eaux avec une TF d'une force redoutable, je ne fit pas mauvaise figure, mais j'étais trop loin de mes bases : un repli était obligatoire, qui laissait du même coup la liberté à Erik de pousser ses forces dans mes eaux. En Asie, le Japonais montrait les dents et prenaient le NEI par la gorge et mes possessions riches en pétrole dans le même tour. Conscient qu'il allait ensuite se tourner sur l'Inde (qui me fit bien des misères tout au long du jeu), je plaça intelligemment l'Australie entre elle et moi; et le Japon, ravi de ce casse-croûte inopinée, mordit à l'hameçon. Le temps pour moi de tenter une bataille navale contre les Japonais, mais ce fut un échec. Après cet épisode, il ne restait plus qu'à l'américain à enfoncer le clou sur la planche pourrie par les vers qu'était devenue le front Européen de l'Ouest et à tenter et réussir un débarquement sur l'Irlande. J'avoue ici que j'aurai mieux fait de garnisonner beaucoup plus mon propre pays mère mais l'Allemand, devant le déferlement russe à ses portes, devait engager toutes les forces allemandes possibles pour le ralentir jusqu'à la fin du jeu. Les pays conquient dans la passé devant être garnisonnés, c'est moi qui offrit mes troupes pour cela, et avec les troupes situées en Inde, il ne restait pas beaucoup pour ma défense en Grande-Bretagne. En Asie, je crois que Chris à vu trop gros et les débarquements qu'il a tenté sur ma perle d'Orient étaient condamnés, certainement bien avant qu'on ne le pense. Enfin, la règle spéciale indiquant qu'il doit toujours y avoir au minimum 3 unités terrestres en Inde sinon celle-ci tombe dans les mains des Alliés est vraiment très intéréssante mais très dur à jouer pour le Britannique, les Partisans sont partout et apparaissent chaque tour, on ne sait plus où donner de la tête et c'est seulement vers la fin, quand je possédais sur le territoire près de 12 Corps terrestres, que je gérais enfin la situation sur le terrain, c'est un peu cher, surtout quand on sait que c'est Chris qui placait les partisans, qui agissaient donc pour le compte du japon, cela vous rend moitié parano, mais quel pied ces batailles ! ».

 

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Vos commentaires sur ce nouveau scénario ?

 

Etats-Unis, Italie et France : Erik : « Des luttes sérrées, des joueurs ravis, je pense que le constat est positif pour un scénario personnel qui n'a vu, je crois, qu'un essai avant de nous l'être proposé. Ce fut un vrai challenge pour les 3 pays que j'ai joué. J'ai tout eu : sentiment de grande désespérance avec la chute de la France puis de l'Italie et de l'Espagne, puis exalté après la gestion des combats navals avec l'Angleterre. Les USA ont l'habitude de se mesurer au Japon et les tactiques pour rogner doucement ses forces sont connues, mais là, contre l'Angleterre, tout était à découvrir. Cela fait vraiment ''bizarre'' (c'est un mot français que j'aime bien employer un peu partout) de se battre contre des forces qu'on a l'habitude de cottoyer en ami ».

 

 

U.R.S.S et Chine Communiste : Didier : « Je commence à me sentir habitué de tels scénarios et j'avoue que j'ai apprécié. C'est mon deuxième GR et tous les deux sont de Chris et ne sont pas présents dans le Scen Book, il faudrait envisager à m'en faire jouer un les mecs, pour que je voit ce que c'est !! Du très bon, Chris, continue ! ».

 

Allemagne : Stéph : « L'Allemand est plutôt en deçà dans ce scénario qui voit surtout un conflit anglo-américain et en arrière plan un autre germano-soviétique. L'aide de nombreux pays mineurs dont ceux de Scandinavie est une très bonne idée et coupe un Barbarossa sans surprise puisque l'U.R.S.S et Berlin sont déjà en guerre quand je me défais de la Pologne. Le Russe à tout loisir de se préparer avec ses réserves placées depuis longtemps. Ce qui est bien aussi est la possibilité de mettre TOUTES les unités allemandes sur le front russe pendant que l'anglais gère l'arrière, comme çà on ne peux pas se retrancher dérrière la faute d'un second front ».

 

 

Japon et France Libre : Chris : « Mon troisième Scénario Uchronique et je trouve que cela se bonnifie avec le temps, mes Scenars seraient du bon vin si je comprends bien ! Pourquoi pas. Sinon le Japon est toujours aussi plaisant à jouer et la liberté qui lui est permise, à condition que les Américains leur laissent une bonne marge de manoeuvre, est très enrichissante sur les possibilités cachées des Japonais. Pour la France Libre, ce Scénario a montré que leur existence éclipse celle de l'Angleterre, et que c'est alors un combat à mort entre les deux, en défaveur nette des français, qui se retrouvent vite rejetés en Asie, loin des combats majeurs de la Guerre ».

 

 

Royaume-Uni et Chine Nationaliste : Paul : « Il ne faut pas mentir à tes lecteurs, je n'étais pas emballé pour deux euros par ce Scénar. J'ai quelques à priori avec les histoires imaginaires, je suis un Cartésien définitif, je recherche ce que je peux comprendre. Là, il n'existe pas de sentiment exact sur mon sentiment face à ce que j'ai ressenti à la fin du GR, mais ceux qui me connaissent savent quand j'ai apprécié ou au contraire, quand cela m'a déplu. Ici, pas d'ambivalence possible, c'est un très bon scénario et, même si l'Histoire Revisitée ne sera jamais d'une grande clarté pour moi, ce Scénario se marrit parfaitement avec le Jeu de World in Flames. Je suis prêt à une seconde partie, avec l'Histoire réelle ou pas, c'est vous témoigner ici combien j'ai aimé ».

 

 

 

Remerciements : Ce scénario totalise 312 impulsions -un record- (soit plus de 7 impulsions par tour) pour un total comptabilisé de 215 Heures de jeu (Set-Up inclut), ce qui commence à faire du lourd pour un GR.

Il a fallut 53 heures pour amener dans ce Compte-Rendu toutes les interventions de chacun.

Je ne vais pas me plaindre, les joueurs ont, lors de chaque fin de tour, écrit un compte-rendu personnel du tour joué pour leur pays et leurs sentiments sur une Action précise s'ils en exprimaient le besoin, ce qui est adorable de leur part, tout simplement. Ces billets étaient réunis dans une boîte que j'ai ouvert à la fin du Jeu pour pouvoir écrire ce que vous avez sous les yeux.

Comme aucun secret ne vous sera caché, j'ai modifié parfois les Interventions de chacun pour qu'elles s'imbriquent correctement avec les autres qui sont présentes dans le descriptif d'un tour, mais le contenu (à 90%) n'a pas été modifié, sauf les quelques fautes parsemants les descriptifs de chacun.

Le Temps, c'est toujours ce qui manque aux gens occupés, là, c'est une petite pépite que vous avez sur mon site.

L'écriture de ce Rapport de Jeu m'a demandé 37 Heures et j'espère que vous l'avez apprécié. Ce Scénario existait depuis Mai 2001 mais n'avait jamais été « testé ». Après avoir réussi à réunir les joueurs que je voulais, j'ai tenté, seul, une Version en accord avec la « Raw 7.0 ». J'ai constaté que l'Anglais disposait d'une trop grande force si le Commonwealth se joignait à elle dès le début. J'ai alors modifié l'Historique du Scénario et le Jeu qui en a suivit ne s'est pas montré trop en faveur d'un camp. Une petite déception pour le Français Libre qui verra toujours ses territoires à proximité de ceux de l'Anglais, sa durée de vie est alors bien courte... (un érrata est en préparation pour remédier à ce défaut de Jeunesse, disponible prochainement sur le site).

 

Les photos qui parcourent ce GR ont, je l'espère, égaillées, la lecture de ce très bon Scénario, à mon avis. Mais si vous cherchez à confronter mon jugement avec le votre, il ne vous reste plus qu'une chose à faire : prenez-le, imprimez-le et jouez-le !

 

Mes joueurs ne sont pas des amateurs (sauf un), je crois que leur jugement, très positif, m'apporte un crédit que je ne mérite pas. Par contre, ce Scénario est vraiment divertissant, il mérite votre interêt. Ce serait une très bonne chose qu'un groupe de Joueurs l'utilise pour une des ses parties et m'envoie ensuite son GR (ce serait Byzance !!).

Plusieurs Home Rules, non expliquées précisément étaillent ce Rapport de jeu et peuvent être retrouvées plus en détail dans le site dans la Section ''Homes Rules'', cela ne s'invente pas !!

 

Je dédicace ce Scénario au Groupe qui a participé à ce Jeu à mes cotés. Il n'est jamais évident de jouer un Jeu auquel de nombreuses Règles ont été transformées ou bien que l'Histoire ait été transformée (hein Paul !) pour son déroulement, même pour le bon fonctionnement du Jeu.

 

 

Pour toute information

Chris_WiF@yahoo.fr

 

Il existe aussi un forum où vous pourrez poser toutes vos questions sur World in Flames ou bien en rapport avec ce Rapport de Jeu (Inscription obligatoire pour participer) :

http://fr.groups.yahoo.com/group/WorldinFlames_en_francais/

 

Note du Rédacteur : La Guerre est une abjuration de tout ce que l’Humanité à de beau, de pur et de Bon. Ce jeu n’est en aucun cas une forme d’apologie ou de propagande pour aucun camp ni pour aucune idéologie. Quand l’Humain aura trouvé la Voie vers la Paix Universelle, alors l’Humanité toute entière pourra enfin être satisfaite. Carpe Diem !

 

Christophe.