Des Scénarios totalement nouveaux, mais qui attendent encore un Jeu (donc ensuite un Rapport de Bataille) pour pouvoir ensuite vous êtes proposé dans la page principale.

 

 

Les scénarios que je vais vous présenter sont parfaitement « décalés » et ne sont sortis que de mon esprit dérangé d’auteur d’uchronies.

Une fois qu’un scénario parvient à se frayer un chemin jusqu’à cette page, c’est que son auteur l’a testé en pratique et l’a jugé « apte » à servir.

En effet, certains scénarios peuvent être déséquilibrés dans le rapport des forces, tout doit donc être testé dans une véritable partie pour que vous ne perdiez pas votre temps à jouer un scénario sans surprise et n’offrant finalement que peu d’interêt.

Pour chaque scénario, je vous propose un background (dont vous retrouvez une copie sous chaque scénario à downlaoder sur cette page) + une fiche de Setup (du même style que celles données pour les scénarios officiels de WiF).

 

        

  Page encore en construction          

 

 

 

Scénarios proposés :

 

Ø   Le chant des Sirènes

Ø   Une nuit de terreur

Ø   La section Heidrich

Ø   Tous au Kremlin !

 

 

 

Le chant des Sirènes

Premier scénario consacré à une uchronie en 1942 mais qui peut se moduler en 1943 ou, au pire, 1944.

 

Background :

Hitler et Staline attaquent la Pologne en juin 1939. Les démocraties européennes hésitent devant la menace d’une nouvelle guerre en Europe. Que faut-il faire exactement : si on veut defendre la Pologne, comme les traités anciennement signés l’exigent, il faut déclarer la guerre à l’Allemagne ET à l’Urss !!.

Quelques jours après le début des hostilités en Pologne, les communistes francais et anglais décrètent la grève générale : la population de ces deux pays sont choqués devant cette « 5eme colonne » manifeste. Elle se déclare prête au combat tandis que les Usa viennent juste de signer un traité de coopération avec le Japon qui permet une paix tacite de 3 ans entre les deux pays. En fait le Japon à carte blanche en Chine en échange d’une promesse des Japonais de ne pas intervenir ailleurs en Asie. Les américains promettent alors une intervention de leur pays dans les Affaires Européennes avant février 1941 (plus tôt est toutefois possible mais sous des conditions très strictes, voir « Conditions » dans le .doc). Les Démocraties déclarent alors la guerre aux deux dictatures.

 

Le réchauffement des relations avec les Usa ainsi que l’alliance entre l’Allemagne et la Russie peuvent permettre au Japon plusieurs choses :

Ø      Une alliance durable avec les américains.

Ø      Une attaque sur la Chine puis en juin 1942 une attaque sur les Usa.

Ø      Une attaque sur les Usa ou sur les possessions européennes en Asie du Sud-Est avant juin 1942 (mais dans les deux cas, ils subisssent des pénalités importantes –voir « Conditions et Rupture de la Paix » dans le .doc)

Ø      Une attaque sur l’Urss 

 

La position japonaise se revélera très importante car c’est finalement elle, avec la date d’arrivée plus ou moins rapide des Usa dans la guerre, qui va amener la balance à pencher dans un camp plutôt qu’un autre ( la diplomatie pour « charmer » le Japonais sera obligatoire pour les deux camps).

 

 

Une nuit de terreur

Et si le gouvernement francais de Léon Blum n’avait pas tenu en 1936 devant l’extrème droite ???

 

Background :

Hitler arrive au pouvoir en 1933. Son principal adversaire : la France, principal instigateur de l’honteux traité de Versailles.

Depuis trois ans, Hitler prépare sa vengeance. En 1936, un vent de révolution parcourt la France, les élections francaises s’annoncent disputées entre les deux extrèmes. Hitler décide de forcer le destin. Il pousse les extrèmistes de droite francais à se soulever à l’annonce des résultats des élections, dans le cas bien sûr où la gauche passerait, et promet l’intervention allemande si le nouveau gouvernement ordonne la répréssion de l’insurrection par l’armée.

Bluff monumental d’Hitler qui sait son armée totalement incapable d’attaquer les frontières francaises, mais le parti d’extrème droite francais tombe dans la grossier panneau et prépare la révolte.

La campagne éléctorale hexagonale est marqué par de très violentes manifestations d’extrème-droite qui, à chacune de ses réunions, récupère de nouveaux adhérents, émerveillés par ces files d’hommes en tenue martiale, manifestations qui ne laisse pas non plus indifférent l’armée et ses soldats.

Les élections francaises se terminent et voit la victoire du Front Populaire sous la présidence de Léon Blum, un juif, ce qui fait ulcérer les extrèmistes.

Le lendemain de l‘annonce de la victoire de la gauche, l’insurrection commence dans les campagnes et prend rapidement de l’ampleur. La présidence étant vide durant la semiane après les élections, personne ne prend réellement à bras le corps le problème. Cette semaine d’inaction pousse l’extrème-droite à continuer : « Nous n’avons plus rien à perdre » est leur slogan et fait croire aux soldats, déjà tentés par cette poussée droitière mais encore empêché par leur amour de la République et de ses institutions, que le gouvernement est incapable de s’y opposer et petit à petit, l’armée va soutenir de plus en plus fortement cette révolte.

Une semaine après l’annonce des résultats, Blum prend les rennes de l’Elysée et ordonne à l’Armée d’intervenir. Des soldats se révoltent dans les casernes et refusent d’appliquer cet ordre. C’est maintenant au tour des Officiers de subir un cas de conscience : suivre l’ordre présidentiel, c’est à dire fusiller les mutins et abattre les révolutionnaires ou bien suivre ce qui semble bien devenir une vague deferlante, une gigantsque boule de neige où se mélait en chacun des citoyens le refus d’un gouvernement socialo-communiste, l’exaspération de la situation économique, la haine de l’etranger, l’attrait pour un pouvoir fort qui poussait partoiut en Europe… la grande majorité des généraux décidèrent de suivre ce dernier mouvement et la dernière force capable d’empêcher l’arrivée de l’extrème droite en France ce dissouda sans combattre.

 

Deux semaines après les éléctions, un nouveau gouvernement est crée sous la domination de l’extrème-droite… la IIIeme République n’était plus. 

 

 

Vous prendrez DoD III avec la France aux côtés des dictatures.

L’Alliance franco-allemande va petit à petit écarter l’Italie dont le Duce voit son auréole diminuer.

Bien évidemment, avec DoD III, vous aurez beaucoup plus de poids dans le camp des dictatures, pour contrecarrer cela, vous avez plusieurs options :

 

Ø      Alliance franco-allemande contre alliance italo-anglo-russe avec le Japon et les Usa qui choisissent tardivement leur camp (mais qui ne peuvent être dans le même camp).

Ø      Alliance franco-germano-espagnole-japonaise et russe contre italo-anglo-américaine………

 

Je suis en train de tester ce scénario dès 1936 avec les camps suivants : Allemagne-France, Italie-Japon-Commonwealth, Russie-Usa. Pour le moment ca tient la route.

 

La section Heidrich

Historiquement, Staline proposa deux fois une proposition d’arrêt des hostilités avec les Allemands, en septembre 1941 et  en mars 1942.

 

Background :

Nous sommes en Mars 1942, Hitler à déjà refusé la proposition de Staline en 1941. La situation se dégrade partout en Europe occupée, les italiens sont en pleine déroute en Afrique, les Allemands abandonnent pour de bon l’idée d’un débarquement en Angleterre et la bataille de l’Atlantique ne s’annonce pas favorable aux loups allemands avec l’arrivée croissante de la Marine Américaine. Les généraux allemands se rendent compte que la victoire « en trois semaines » escomptée en URSS n’esrt plus d’actualité et que l’Allemagne est en train de se retrouver bloqué dans deux fronts, synonyme tôt ou tard de défaite.

La proposition de paix de Staline est du pain béni pour les généraux mais Hitler est enclin à refuser.

Les généraux décident alors de faire front commun pour faire infléchir la prise de décision du Führer. C’est la première fois que tous les généraux marquent leur opposition ensemble contre les décisions de leur Chef d’Etat, le dictateur autrichien en est profondément bouleversé mais cela lui permet, toutefois, de voir la vérité. Après une longue semaine où le Chef se terre seul à Konigsberg, il finit par accepter la proposition soviétique. Puis tout va très vite : Le 27 mars voit l’arrêt des combats sur toute la ligne de front en Russie. Le 30 Mars, un traité de paix est signé entre l’Axe et l’URSS. Les Etats-Unis et l’Angleterre voient leurs ambassades au Kremlin fermés.

Staline annonce à son peuple que l’URSS se retire de la guerre en offrant, en échnge, l’indépendance de l’Ukraine, de la Biélorussie et des Etats-Baltes. Personne n’est dupe sur le sort réel de ces états qui deviennent vassaux de l’Empire Germanique.

 

A cette date, l’Allemagne possède les territoires nommés ci-dessus et l’Axe reste toujours inchangé.

Il y a une petite chance pour que l’URSS se range aux côtés de l’Axe en mai-juin 1942. Sinon, si les Soviétiques sont attaqués par un des deux camps, ils se rangeront automatiquement dans l’autre.

 

 

Tous au Kremlin !

1941

 

Background :

Après l’attaque de l’Allemagne sur la Pologne, Hitler organise une grande conférence pour la Paix qui amène de vastes changements dans la diplomatie Européenne. Les Européens finissent par se ranger aux propositions allemandes. L’Europe devient rapidement une vaste Dictature aux ordres du Führer. Seulement un an suffira aux Allemands pour monter l’Europe contre les USA et la Russie, « principals pourvoyeurs des idées de la juiverie internationale ». 

Roosevelt meurt assasinné par un extrémiste de droite en mai 1940, les Américains prennent conscience du danger qui plane sur eux et vont alors renverser les anciennes rancunes pour organiser, en 1941, une alliance solide entre elle, le Japon et l’URSS contre l’Europe qui leur déclare la guerre en février 1941.