Le grand Secret
La vie n’est que symbolique.
De tout temps, les hommes se sont crée des
étapes vers la Lumière.
Mais l’Homme se devait, pour cela, pour parvenir à la hauteur
de l’Illuminé, se sortir de son cycle humain habituel, il se devait de se
dénuder devant ses pairs, devant ceux qui ont la connaissance, ceux qui ont
atteint le point culminant que tout philosophe cherche seulement à contempler :
l’Absolu Compréhension de l’Existence, cette Voie qui répond à toutes les
autres interrogations de l’Humanité.
Mais l’existence reserve de nombreuses
surprises au chercheur de Lumière. La Maçonnerie ne se qualifie pas elle-même d’unique
détentrice de la Lumière
salvatrice, mais ses Initiés ne se cachent pas quand on leur demande ce qui les
différencie de la Masse
populaire : Ils sont détenteurs de la Lumière : cette Connaissance, par
l’entremise d’un Enseignement porteur de valeurs et d’Idées, au Service de
l’Ouverture de la Conscience.
Rien ne peut entâcher l’Espérance Maçonnique
dans sa quête de la
Vérité Absolue. On peut bien sûr dénigrer les Maçons en les
traitant de ‘doux-dingues’, justes bons à s’imaginer que cet enseignement
secret à base de Symbolisme, d’Histoire et de Spiritualité soit capable
d’élever l’Esprit vers un Etat de Conscience Inconnu…
Il est certain que tous les Maçons, avec un
haut niveau de Maçonnerie, ne sont pas tous détenteurs de la Lumière. C’est à chacun
d’accepter cet enseignement, véritablement révélé qu’aux seuls Maçons capables
de le comprendre et d’accepter de nombreux sacrifices en vue de ressentir le
plus fortement possible la lente, mais constante, arrivée de la Lumière dans son Cœur.
Mais quels sont ses
sacrifices et que représentent-ils en réalité dans notre existence ?
L’Idéalisation en guise de
préambule
Le Premier sacrifice est d’accepter l’affreuse
vérité qui est celle
que nous ne sommes pas parfait dans notre comportement, bien au contraire. Et
cette constatation se doit d’être déjà au sein de l’esprit du Candidat à
l’Initiation, car quelle plus belle raison de vouloir entrer en Maçonnerie que
de croire que les Hommes qui la composent sont acquéreurs d’un Savoir si
Puissant et si Riche que, nécéssairement, leur Vie s’agrémente d’actions
personnelles représentatives de la Connaissance acquise durant cette vie de Maçon.
Pour réellement oser le dernier pas vers la Loge, il faut peut-être
idéaliser la maçonnerie, mais en tout cas avoir la certitude que la Maçonnerie élévera la
conscience du demandeur, lui-même se placant dans une approche d’humilité
proche de l’Homme en face du Sacré : conscient de ce qui le sépare de
l’Image du Bien, l’Idéal à atteindre pour l’Âme, le requérant n’a plus qu’une
Espérance : face à sa conscience qui lui indique ses propres faiblesses,
face aux Hommes qui composent la
Maçonnerie, il attend de ceux qui disposent de cette Lumière
qu’ils veuillent bien la lui faire partager. A ce stade, il ne se suffit plus à
lui-même, une partie de lui-même est tournée vers la Maçonnerie et ses
représentants : sa requête se doit d’être acceptée, à défaut, l’image
Idéalisée se flêtrira pour devenir embrouillée.
La Résurrection comme fondation ?
La Seconde difficulté est d’accepter, quand il s’agit, une fois l’accord préalable
des Frères, de renaître. Cette Seconde Vie a, à première vue, rien à voir avec
un Enseignement progressif utile à l’élévation Intellectuelle et
Comportementale. Il n’est pas simple, et ceci pour quiconque, de s’imaginer une
telle chose facilement. Il est bien évident que cette étape est symbolique,
mais le Demandeur est en droit de ne rien connaître au Symbolisme à son arrivée
à la Loge. L’arrivant
sait parfaitement que le rite de passage comporte des évenements qu’il ne
comprendra que bien plus tard pour certains, dès le lendemain pour d’autres,
mais l’épisode de la Mort
suivi d’une Résurrection peut sembler ‘excessif’ au nouvel Initié qui n’en voit
pas tous les aboutissants.
La croyance que le début d’un enseignement
nouveau se doit d’être inscrit dans une Conscience propre, non entâchée de tous
les excès commis durant la Vie
de profane, peut lui paraître une réponse ‘insuffisante’ devant les nouvelles
questions bien normales qu’il peut se poser une fois initié.
Les Secrets à l’Epreuve du
Temps
Et vient ici la troisième difficulté qui se
pose à lui : un enseignement n’est jamais offert d’un bloc, même à ceux qui
ont trouvé grâce aux yeux des détenteurs du Savoir des Anciens. Dans des mains
gauches, le travail sera mal fait : plutôt que de donner tous les secrets
qui composent l’Enseignement maçonnique, il vaut mieux se servir du meilleur
allié de la Patience :
le Temps. C’est avec le Temps que les Maîtres jugeront le nouveau-né apte ou
non à recevoir l’Enseignement. Prodiguer même à un nouvel Initié prometteur
comporte de nombreux risques et dès l’instant où l’Accepté comprend son nouveau
rôle d’Apprenti, ses prérogatives, ses nouvelles fonctions - d’une importance
capitale pour l’Egrégore durant chaque tenue – il devra faire preuve d’une
patience rare et d’une forte personnalité pour accepter ce rôle qu’il jugera
certainement ingrat au départ, inadapté rapidement et finalement pas si
difficile à supporter : il est commode de ne pas exposer ses avis, surtout
quand on en possède pas ou prou, que ceux en face de nous semblent peu enclain
à discuter mais, le fonctionnement de la Loge étant ce qu’il est, le Devoir passe avant
ses propres timidités… l’Apprenti se voit spectateur d’une scène jouée par
d’autres et il n’est jamais déplaisant d’assister à un Spectacle : ce sont
les autres qui font le travail…
Le façonnage de l’Esprit
par la Patience
Mais la quatrième difficulté vient alors quand
les Maîtres se proposent de vous apporter les outils utiles à la compréhension
des vérités incluses dans l’Enseignement révélé aux Apprentis. D’une part,
cette vérité est volontairement tronquée, ce qui bride à dessein la curiosité
bien humaine de l’Initié qui en ressent une frustration tout aussi naturelle.
Quant à La Patience,
il la juge responsable des maux qui accompagnent sa nouvelle existence :
Insondable soif de connaissance, on le juge indigne car ici il n’est plus
question d’attendre quelques mois pour la réponse des Maçons sur sa
candidature, il est question d’années et c’est avec tout autant d’Amour
Fraternel que de Fermeté qu’on lui indique que les choses viendront avec le
‘Temps’, qu’il faudra passer de nouvelles étapes qui viendront en leur ‘temps’…
Ses bévues initiales sont rapidement oubliées, le ‘temps’ assagira sa conduite,
le poids des convenances finira par effacer ses gestes de profane, le ‘temps’
est rapidement perçu par l’Initié comme le meilleur allié de l’Apprentissage
voulu par les Maîtres. Le consensus entre ses propres aspirations et la
nécéssaire tenue de l’étiquette et du rite oblige à ‘prendre sur soi’ et de
revenir sur sa propre impatience comme un comportement profane, interdit en
Loge : le façonnement de l’Etre en est à ce prix, le consensus prend le
pas sur les sentiments profanes, c’est la plus belle acceptation de l’accord du
subconscient devant le fait accompli : nouvelle vie signifie nouveaux
mœurs, l’identité reste la même, mais le comportement se trouve profondément
modifié à mesure que la patience prend sur l’Exaltation : l’esprit modèle la Conscience. La
Patience est alors perçue comme une Vertue Maçonnique, la quatrième difficulté
s’en trouve surmontée.
Conscient du changement s’opérant dans sa
conscience, pleinement exalté par l ‘épanouissement ressenti face à cette
évolution, l’Initié se doit de comprendre que ce stade n’est qu’une étape, la
première, vers une Vie Maçonnique totalement vierge de toutes idées préconçues.
Le chemin est encore loin vers l’Illumination constante, l’Initié à juste
entraperçu ce à quoi il peut un jour rêver de ressentir si sa démarche reste
emprunte d’humilité et d’Amour Fraternel envers ses Compagnons. Il est très
souvent difficile de ne pas faire partager ses premières sensations de
plénitude, le partage de ces moments forts où la Lumière s’ouvre doucement
à l’Initié avec ses frères peut paraître parfois excessif, mais ces instants
passent avant tout autre chose, ils sont les premiers fruits d’un travail
autant personnel que de tous les Maçons de la Loge envers l’Apprenti.
Le Comportement Profane au
secours des Maîtres trop idéalisés ?
Il faut bien évidemment
constater que la vie d’un Apprenti n’est pas une Histoire où interviennent
uniquement des Maçons expérimentés, chevronnés et pédagogues. Le Maçon se doit
théoriquement de ne pas dévoiler les secrets de l’Enseignement gardés caché
provisoirement aux Initiés. Force est de constater que, parfois, l’Amour
Fraternel est plus fort
que la Raison Maçonnique.
L’Initié se voit ainsi dévoiler, volontairement ou pas, des Histoires
inconnues. Mais les Maîtres ne doivent pas s’en inquiéter outre mesure :
l’Initié n‘est en aucun cas un puits de science et ce qui est dévoilé n’est pas
compris à sa juste valeur : vient alors le caractère et l’intelligence du
jeune imprudent : si sa Conscience lui dicte que ces connaissances ne sont
pas de son grade, il refermera bien vite le livre des Secrets. Déflorer
sans amour n’équivaut qu’à maltraiter l’objet.
De l’Enseignement Maçonnique vers l’Illumination : un chemin de
Patience
L’initié peut avoir fait toutes les études du
Monde, rien ne remplacera le Cœur qui dicte, dans cette nouvelle vie, les actes
du Maçon. La Compétence
du Cœur n’est pas quelque chose qui s’apprend, elle n’attend qu’à éclore, telle
la fleur le rayon du soleil.
L’enseignement maçonnique représente bien une
Lumière, parfois vive pour les curieux, parfois obscurcissante pour les
profanes venus là pour de mauvaises raisons, mais la Force de cet Enseignement,
c’est qu’il n’est que la manifestation de ce que nous sommes réellement au fond
de nous même : le Cœur pour Principe de Vérité, l’Âme comme Livre de
sagesse, la Parole
en guise de Témoignage.
Le regard des autres et mes
sentiments y afférent
Je me fous du regard des autres, uniquement
quand ceux-ci proviennent de personnes qui n’ont que mon mépris, oh c’est rare,
mais cela arrive, une fois que la compréhension mutuelle est devenue
impossible, en effet, le dialogue est remplacé par du mutisme qui se termine
toujours, souvent rapidement, en haine mutuelle.
Mais le regard des autres, quelqu’il soit,
reste une façon de me juger : suis-je bon, suis-je doué, suis-je apprécié,
le regard extérieur est, depuis tout petit, un excellent baromètre dont je me
fis totalement dans de nombreuses occasions.
Mais jamais, je dis jamais, je chercherai à
forcer le destin.
Il est bien évident que se sentir considéré, se
sentir simplement accepté dans un cercle que l’on sait restreint, augmentant
ainsi sa force d’attraction, est une chose que je prend en compte ! J
Mais le mensonge apporte toujours sa face
cachée, nous payons un jour ou l’autre toutes nos erreurs et mentir pour se
faire « mousser » n’est jamais une bonne chose à moyen ou long terme.
Je dirai que si j’avais une vision capitaliste
de ma vie, je mne me prendrai pas la tête quand à mes mensonges :
« ils servent un but, une cause, la mienne ». quand arrivera les
problèmes, il sera temps de les régler de la manière qui sera la meilleur à
l’instant où je jugerai bon de m’en occuper… sauf que cette vision n’est en
aucun cas une vision que je peux avoir sur l’Avenir et sur celui que je tente
de me créer : de nature anxieuse, prsychologiquement nerveux et un ‘peu’
parano, je me vois mal sortir tous les mensonges de la Terre
La force de l’Homme n’est pas dans ses actes
mais dans ses intentions.
En effet, la recherche de l’Homme se fait
toujours, initialement, par une décision interne, une étincelle de Lumière qui
entoure sa personne et le guide vers une action spécifique, une action qui
n’est pas toujours d’une grande portée mais dont l’intention sera toujours
positive, c’est ce que nous allons étudier ensemble maintenant :
L’Homme de tout temps cherche à atteindre les
objectifs qui peuplent son esprit : ses objectifs ne sont, finalement, pas
toujours difficile à réussir, mais l’Homme se crée des bornes allant de
l’objectif le plus facile à ceux dont la réalisation est pratiquement vouée à
l’échec. On peut donner, par exemple, quelques possibles objectifs que l’Homme
moyen se fixe : obtenir un bon travail, gagner une bonne paye, s’installer
avec sa compagne ou son compagnon dans un modeste F2, vivre en harmonie avec
l’Individu qui partage vos nuits puis oser espérer apporter la vie et voir sa
progéniture grandir en paix, la voir grandir tandis que l’Homme prend doucement
de l’Age et de l’Expérience et, à mesure de cette avancée dans le siècle,
espérer que sa propra famille, celle de son sang, avance calmement dans la Société en y faisant sa
place, à l’aide de l’éducation que l’Homme leur a inculqué patiemment. Que ses
dernières années, jusqu’à ses derniers soupirs, soient accepté par sa famille
tandis que la Maladie
qui l’emporte ne soit, en fait, que le poids de l’age et non une maladie dont
on n’ose encore pas dire le mot de peur de la faire venir plus vite à nos
côtés.
Ce sont des objectifs somme toutes viables que
chacun se souhaite d’atteindre mais l’Homme, même s’il place certaines balises
dans son esprit afin de marquer son avancée dans la Société comme dans
l’échelle sociale, il sait parfaitement que chaque jour suffit sa peine.
Et chaque jour, de nouveaux évenements
interviennent dans sa vie et demandent toujours une réaction de cet
Homme : l’Homme n’est pas naturellement mauvais, bien au contraire. Il se
cherche tous les jours des choses qui le satisfont, de façon à rompre une
monotonie décidément bien lourde à porter : ces habitudes ne sont
aucunement les moyens d’atteindre ses objectifs. Il lui faut faire preuve de
patience et d’abnégation devant les résistances qui se font jour à chacune de
ses actions. Tout dépend de la
Nature de notre Homme, de son éducation, de ses modes de
pensées devant l’Inconnu.
Parfois, certains réagiront avec violence
devant ce qui lui semble être un mur lui empêchant d’atteindre son objectif le
plus proche de se réaliser, d’autres réagiront par es moments de solitude où
leur ecrveau tacheront de trouver la meilleure réponse adaptée au problème, ou
les derniers accepteront, avec fatalité, cet arrêt subi vers leur objectif qui
leur semblera, à cet instant, aussi proche qu’impossible à réaliser.
Les actions des Hommes se font souvent en
fonction des actions d’autres Hommes et c’est cette interraction que l’on peut
autant suivre en tant que Spectateur averti qu’y participer de manière éclairée
afin d’y décrypter les codes et les actions qui s’enchaînent à sa suite par
toute l’Humanité, comme un effet boule de neige dont la terre entière serait
l’actrice unique et principale : c’est ici que se joue l’interraction
entre l’Homme et la civilastion terrestre, où l’on peut constater que chaque
acte d’un Homme peut jouer sur l’avenir de la Planète, où le rôle de
l’Individu est autant magnifié que décrypté : c’est alors que l’Homme,
dans son unité, devient l’acteur principal de la pièce qui décidera de la Survie ou non de sa propre
décendance.
Et n’y a t-il pas de
correspondance immédiate entre l’Homme, ses actions, ses balises lancées dans
son esprit et qu’il projette chaque jour autour de lui et la Franc-Maçonnerie ?
Faut-il alors expliquer ces liens qui nous assemblent et qui nous guident vers
le Grand Architecte de l’Univers, unique dépositaire de la légitimité divine,
Responsable de nos existences et du destin qui marque nos vies et nos actions.
A la Gloire du Grand Architecte
de l’Univers. Que l’on soit de n’importe quelle confession, peu importe en fait
ses croyances personnelles, nous avons, un jour, décidé d’entrer en Maçonnerie
uniquement pour y trouver une réponse à des questions personnelles dont nous ne
trouvions aucune réponse dans notre vie profane. Et si nous avons fait le
dernier pas vers notre initiation, c’est que ces questions qui taraudaient
notre esprit se devaient de trouver des réponses. Mais quelles sont ces
questions si existentielles que nous ayons eu le devoir de nous approcher d’un
Grand Architecte qui, pour nombre d’Hommes, ne représentait rien ou n’évoquait
aucune forme vivante ou incarnée ayant un semblant de compréhension de la part
de nos Individus ?
La première, qui est en fait une liaison avec
notre vie de Profane, est que nos vies dans la Société manquait de
quelque chose, ce quelque chose peut prendre de multiples formes : des
relations humaines défaillantes, un manque de compréhension avec ses proches,
un questionnement intérieur sur le devenir de ‘Homme à l’état actuel de la
planète et de ses mœurs…
Un engagement vers une société secrète n’est,
par définition, jamais total. En effet, le secret qui couvre cette même société
empêche l’arrivant de bien juger, par avance, ce qu’il va y trouver et si ce
qu’il va entreprendre comme voyages ne sera pas en contradiction avec ses
formes de pensées.
Très souvent, le G.°. A.°. D.°. L.°.U.°.
acceuille en son sein des Profanes ayant construit en leur for intérieur toute
une Image de la
Maçonnerie. Mais, par cette idéalisation du contenant comme
du contenu, le nouvel Initié est au contact d’un aspect différent de celui
qu’il s’imaginait en tant que Profane et cette nuance, parfois importante,
entre la réalité et la fiction, l’imaginaire, peut être synonyme de nopmbreuses
actions : certains nouveaux Initiés choisiront de partir, d’autres resteront
et se cpnformeront à la Vraie
maçonnerie, tandis que d’autres resteront et tenteront, avec plus ou moins de
succès, de conformer meur propre vision de la Maçonnerie (construite
autour de leur vision de Profane) à leurs F.°. en Loge.
Les actions des Hommes se font alors sous le
regard du Grand Architecte et chacun se doit d’en avoir conscience. Il est
toujours temps de retirer le bon grain de l’ivraie, mais les actions de l’Homme
ne doivent jamais être perçues comme négatives. Même le plus mauvais homme ne cherche,
dans son esprit, qu’à atteindre les objectifs qu’il s’est fixé et qu’il croit
justes. Il est bien connu que pour atteindre un but, il faut une bonne dose de
travail et de persévérance mais surtout de croyance : qu’en on ne croit
pas à une idée, la faire partager (le partage est l’unique moyen de propager
une idée), la faire vivre, la transcender devint utopiste, la chance ou une
acuité très fine sont alors les seules possibilités restantes pour espérer
faire « vivre » une idée.
Et ces actions en T.°. partent, à la majorité
écrasante, d’un principe commun à tous les maçons : c’est en avancant une
idée, image de l’action Profane colorée par l’Enseignement maçonnique, que le
Maçon fait progresser la recherche, celle qui nous amène vers la Compréhension,
nécéssaire à la Vision
claire de notre Monde et de ses acteurs : la Gloire du Grand Architecte
de l’Univers est magnifié par les actes de ses fidèles qui agissent, tous, en
son nom. Se dire que nous sommes tous des Enfants de la Voeuve, que nous agissons
dans le respect de la
Tradition et de la maçonnerie Opérative, s’est avouer qu tous
nos actes sont au Nom d’un idéal que les Anciens ont tout d’abord reconnu puis
respecté. La puissance de l’Homme est dans son intégration auprès du grand
architecte qu’ils cherchent à magnifier en vue de rendre son Amour plus profond
et plus direct. L’enseignement maçonnique vient des Anciens et est agrémenté de
l’Histoire de nos descendants qui, à force de compréhension et de recherche,
ont obtenu un savant mélange d’intelligence et d’éxpérience. Tout ceci à
contribué à assurer aux actes des Anciens Maçons une profondeur d’Amour et un
sentiment de Fraternité qui, à mesure qu’on apprend la richesse de leurs
sentiments et le gouffre qui nous sépare d’eux, nous crie que le Grand
Architecte s’est forcément penché sur leurs actes pour nous montrer que la
maçonnerie peut être bénéfique à un niveau rare de la compréhension humaine.